19 mai 1075

voilà qu’il pleut encore – à nouveau, comme au printemps – un peu comme si de changement climatique il n’y avait point – lu la bande dessinée d’Alessandro Pignocchi,

où je me disais qu’il y avait quelque chose comme le sous-commandant Marcos dans ces agissements – beaucoup aimé – très aventureux – on a envie de s’en aller – il y a même de l’électricité, c’est pour dire – qu’est-ce que je fous encore en ville ? – je suis allé travailler gagner ma croûte mon pain ma vie – avant ça j’ai été croisé dépassé par un bulgare (série en cours) qui récupère les gros blancs comme on sait

le word press ne fonctionne pas – OSEF complètement – reçu ça ce matin par la poste (de nos jours)

on ira peut-être s’il fait beau (c’est une épicerie dont on n’est pas client – mais on connait les patrons et les gens qui vous servent) (on verra : si ça tente quelqu’un qu’il le dise, on s’y retrouvera plus volontiers) – vaguement trouvé quelque part (où ? c’est une autre affaire) ce film de Quentin Dupieux (si ça intéresse hein) (2012), assez loufoque qu’on regardera plus tard et aussi ce Blow up magique (via Anne Savelli) (la profusion de la production de Gérard Courant) (and I like it) – je vais partir bosser, tant pis – une assez grande proportion de tordus du ciboulot (adorant les modèles réduits de trains, dans des proportions  assez rocambolesques) se fait jour là – on enquête, ça ne peut pas nuire – on gagne sa vie son pain sa croûte – le taf le turbin le chagrin