17 janvier 689
n’en plus pouvoir – on s’en souvient, comme dans un rêve – les années 60 – le temps est passé les choses sont arrivées, la maison de la rue L. à A. (j’adore cette écriture exclusive) et puis cette blonde piquante comme on disait Colette Deréal (1927-1988 à Monaco)
il y avait aussi la rousse Cora Vaucaire (1918 – 2011) (« Une aussi longue absence » Henri Colpi 1961, où elle chante ses « 3 petites notes de musique » musique de Georges Delerue)
et cette autre encore que j’ai croisée (métaphoriquement) du temps où les filles regardaient « poubelle la vie » – voilà peut être quinze ans – Colette Renard (trouvée tout de suite dis donc) (1924-2010)
quel tiercé… j’avais oublié, l’émission philo france q sur la chanson (celle sur Claude François, puis celle sur David Bowie) (et aujourd’hui sur je ne sais quoi) remémore ces temps anciens – lui passe, la Seine de nouveau ruisselle d’eau bénite – mais ne déborde pas – revenant de Montpar taleur, j’ai pris le 96 sans photo- mais capturé quand même ce petit bonhomme sur le quai ensuite qui avait laissé ses gants abandonnés
et puis tenter de faire passer cet état d’esprit ou d’âme (l’âge, les os, les articulations, le froid, les larmes qui coulent comme le pif – laisse tomber va) sans rêve, sans idée, comme une ombre (image de vacances à Régneville je crois bien, ce bar juste sur la mer)
revenir du repas avec O, acheter des chocolats pour les profs de musique chez le fournisseur des rois de france (bjr l’addition) et se souvenir, sur le pont du Caroussel, des statues de Souleyman je crois, si par hasard sur l’pont des arts, regarder plus loin vers l’est, le pont Neuf emballé par Christo d’une toile fauve qui coulait dans l’eau
les aimais bien ces dames (surtout Colette Renard)
Cora Vaucaire et sa chanson entêtante…
Quant à ce sacré Christo, je m’en souviens (septembre 1985), c’était plus élégant et discret que les pubs actuelles pour l’iPhone X ou le Samsung Galaxy enveloppant certains bâtiments dans le coin de Saint-Michel. et Châtelet.. 🙂