2722 Vendredi 11 Avril 2025
un peu la course – déjeuner avec la famille en passant par ici (la joie de vivre)
– puis apéritif itou du soir – courir ici là ou ailleurs – la fatigue de sans peut-être ou du printemps qui accourt à toutes les portes, fenêtres et autres entrées ou sorties (les cadeaux de Séville ou Grenade) – derrière l’église les arbres de Judée
(Jourdain, Palestine etc.) (les toponymes ont la vie dure) une autre pour la route
(partir en retraite en Italie semble une affaire à réfléchir) (on voit ? on verra) (la retraite fait penser à napo et sa russie tsariste de merdalakon mais osef) sans doute la fatigue, les allergies (la peau surtout la peau) en allant au séminaire
on passe devant le lutétia de mémoire assez mal fréquenté (du même ordre : des bentley des range rover des sportives et utilitaires voitures – noires avec chauffeur : le pèze étalé sans la moindre vergogne, la pourriture, la classe…) – mais
(formidable) (Hiam Abbas, magique) et
tout autant raccommode un amour pour l’art fut-il industriel (Fernanda Torres, magnifique) – ces deux films chroniqués en leur temps (et indiqués au magistère) – sur la planche attend le pain (le gâteau et un éditorial en images pour la maison[s]témoin) (demain atelier d’écriture à Combat) – lassitude pourtant (à propos de ciné, la présentation de la sélection cannoise de cette année avec une Amélie Bonnin (Partir un jour allongé – est-ce bien nécessaire ?) muette comme la plupart des cinéastes approchés au cours de cette vie (fo) (les chanteur.es sont de la même eau (peut-être même plus glauque) – ce genre de bipèdes répond au « les gens nous aiment et puis nous laissent et c’est sans doute mieux ») (c’est vrai aussi qu’il serait complètement illusoire d’imaginer quelque normalité pour cette faune) – à ces gens cependant destiné
honte à moi jen reste à ce qui a frappé mes yeux : Toulon et Avignon (mais, ne sais pourquoi, pas Aix) sont jaloux des arbres de Judée parisiens (sont encore en fleurs clairsemées ici)
Il paraît que Trump prépare un décret pour empêcher la floraison des arbres, un mouvement inutile et perturbant le regard. ;-))
j’ai pas du tout suivi cannes festival (juste compris que le ménage sur les violences sexistes et sexuelles internes à cette industrie n’ont pas l’air à l’ordre du jour) (belles ces couleurs sinon:)))
@brigitte celerier : c’était un beau voyage, en tout cas.Merci à vous Brigitte
@Dominique Hasselmann : le pathétique peroxydé a fini de me faire rire. ÉPOUVANTABLE. mais merci quand même à toi
@cjeanney : rien à attendre du cannes festival tsais – beaucoup de vent (comme disait NH), certainement : on peut en être assuré. Merci à toi (et bonne continuation ciné italien…!)