Samedi 29 Mars 2025 2709

(il n’en reste plus rien, c’est que ça devait être bon – failli laisser brûler l’affaire j’en étais à Hélène Cixous (rien n’est jamais simple) – les collègues à dîner) fous rires des souvenirs de Sao Paulo – sous Dilma Rousseff, vers 2011 sans doute – boire en avion – salade de fenouil/curry de poisson-riz blanc/salade verte fromages/tartopommes – qui font souvenirs d’une trentaine d’années de travail cisaillée sans un mot fin vingt-vingt (les pots de départ – les médailles du travail – les primes – les prestas : on en fera quelque chose)

avant ça des tentatives (ça revient à prendre en photo le voilage, je reconnais)

ou pour changer (définition double)

pas très concluant – mais quelle conclusion chercher ? – que disait-on en séminaire déjà

 » que de fois, en ouvrant un journal ou en admirant quelques photographies, avez-vous été frappé par le naturel, la vivacité d’expression des personnages ?  Que de fois, par contre, avez-vous considéré avec tristesse des portraits de professionnels où, en dépit des éclairages savants, les figures étaient si figées, les poses si convenues, que ces œuvres ne pouvaient donner satisfaction qu’à leur seul auteur. La photographie professionnelle a reçu heureusement ces dernières années une certaine impulsion venant justement de la photographie d’amateurs. Le goût du public  s’étant peu à peu formé, celui-ci n’a plus admis qu’une technique supérieures’exerçât aux dépends du naturel. »
Marcel Natkin, L’art de voir et la photographie 1935. (on en fera quelque chose aussi)

Cependant aussi

drapeaux rouges/casques blancs – le sang sur les mains des dictateurs (et Orson Welles qui se nettoie les mains, La soif du mal (1958) ou Lady Macbeth – ou d’autres encore) et l’abjection de leurs pratiques

Oui, passons.

Et donc on y va