Pendant le weekend

2634 Samedi 12 Janvier 2025

 

 

 

et le temps coule ainsi que les yeux – la pluie puis le marché (darne de cabillaud épinards citrons fromages) déplacement à la vitesse de l’âge – on s’en fout hein – deux parts de galette des rois à 3.90 la pièce – valeur spéciale middleclass – note de service, sans me souvenir des discussions – lecture hôtels – la nuit vient sans sieste – ciné

hier en passant

des années à oublier les repas avec le sanariote ici lui et son vin résiné – je suis content que ça reste – bientôt la ruine sera complète comme sur le haut de la colline d’Athènes – jamais gravie d’ailleurs on s’en fout oui aussi (en revanche le musée est magnifique) – on fait ce qu’on peut (qui pourrait de classer dans les banalités de base du Clerc Thomas vingt-et-un dix-huit (que tout cela est codé) (dans le livre, une devinette à laquelle j’ai répondu, j’envoie une lettre « aux bons soins bernard palissy sept » et s’il me revient un exemplaire du bazar (ce dont je doute un petit peu dois-je révéler) je l’offre à la mère de la loupienne – qui l’a sans doute déjà je suppose) – en face trouvé ces deux « inédits »- on a la plus grande réserve face à ces titres et aux « coups » d’édition de l’affreux voleur de toponyme (difficile cependant de se passer de son wtf catalogue) (« indédit » dit-il : on répond my foot)  (toujours beaucoup aimé le Louis -pour la Norma Jane c’est autre hose : je le porte au groupe taleur t’inquiète)

les voir réunis fait souvenir des années 50 – pas réussi à me les offrir en tout cas disposant cependant de chèques cadeaux de ma paxette (merci encore toi) – marcher encore alors ?

toujours

 

au ciné La chambre d’â coté (les Almodovar, 2024) (c’est mieux en anglais the room next door ? probablement) splendide splendide (on réserve peut-être un peu à cause du milieu en pensant à celles et ceux qui ne choisissent pas leur moment…) mais splendide quand même (image Eduard Grau) (bizarrement sur l’image prise à Venise (où sont-ils descendus ? lido ou gritti ?) (lion d’or quand même) on ne voit pas de John Turturro,ce qui fait de la peine – un petit peu –

les deux premiers rôles sont juste sublimes (Tilda et Julianne ou Julianne et Tilda) (coup de cinéma à l’épilogue – trop bien) (je me souviens de Tilda dans le formidable Only lovers left alive (Jim Jarmusch, 2013))

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6 Comments

    Paristanbul : ce restau me fait penser à celui qui se trouve, de l’autre côté du boulevard, en face de la Cité de la Musique à la Villette.

    Almodovar : pas encore vu ce film dont on dit tant de bien et que l’on résume partout du début à la fin. 🙂

  • est ce qu’une imperfection ne fait pas ressortir encore plus le splendide de l’ensemble ?

  • @Dominique Hasselmann : ilest gourmand celui de la Villette – en poste demain…(début à la fin : c’est le cas de le dire…) :°)) Merci à toi

  • @brigitte celerier : peut-être – il y a toujours dans les images d’Almodovar quelque chose de très apprêté lisse propre net – cette image-là a quelque chose à voir avec le cinéma et les turpitudes subies par ses personnages… Mais oui sans doute un peu : en tout cas le film est très bien. Merci à vous

  • (ah je m’étais dit l’année dernière que je voulais voir tous les films de Jim Jarmusch)

  • @cjeanney : une valeur sûre en effet… Merci du passage

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