2602 Lundi 9 Décembre 2024
il n’y a guère qu’en marchant que le froid ne tienne pas – la pluie la douche – sortie chez l’artiste (lanterne magique due à Maud Livrozet)
une exposition thématique sur la danse (des ateliers d’artistes comme il en est à Belleville ou Ménilmontant ou autres – les visites des ateliers les entretiens avec les publics ou les artistes – vingt ans de ça (les résultats de ce type d’enquêtes réalisées à titre bénévole ne plaisent jamais à celles et ceux qui ne les commanditent pas : la problématique imposée par le terrain ne va jamais, évidemment – on ne cherche pas à valoriser une pratique ou un usage mais à en mesurer les effets notamment sur la réception) – ici un découpage d’une danse macabre – très réussie – le texte fluvial parti et accepté – l’ambiance n’est pas joyeuse – il y a toujours des choses qui creusent, les enfouissements débordent – j’écris mais je ne sais pas pourquoi, pour survivre ? des 22 de la 4 je ne crois pas non (un peu la même chose que ces présentations d’artistes : on montre, on se lance, écrire c’est déjà se mettre à écrire) – des images envoyées pour la fête des lumières dont j’ai appris l’existence
quatre au carré – je refais du café (j’étais toujours sans nouvelle de toi dit la chanson) il s’agit de quelqu’une que je ne connais pas – on va aller manif devant les folies bergères (une telle présence pour marquer l’évidence de notre propre impuissance…) – une autre manquée, deux lumières deux coupes
pas si mal…
« une telle présence pour marquer l’évidence de notre propre impuissance… » si souvent pour ne pas dire toujours.. mais tant pis, cela desserre l’oppression ressentie.
je renonce au fluvial… lente suis et la communication Rosmerta pour satisfaire tout le monde et obéir aux demandes (rares) de notifications, ça prend temps mais ça permet un petit plus que « une telle présence pour marquer l’évidence de notre propre impuissance… » au moins dans la gestion des réponses
belles images !
@brigitte celerier : bon courage pour Rosmerta – et merci pour les images…