2600 Samedi 7 Décembre 2024
dommage, je pensais à la chanson « La java des bombes atomiques » hier – Boris Vian, 1955 alias Sullivan Vernon – ce n’est qu’une chanson (je me suis perdu dans les volutes de la vie de ce brave type) (encore que ne le connaissant guère – peu lu, erreur probable) mais je retiens de wiki que la chanson fut interprétée par cette brochette magnifique
- André Popp dans Elsa Popping et sa musique sidérante en 1957,
- Pauline Julien (1966),
- Serge Reggiani (1968),
- Les Charlots (1969),
- Mouloudji (1974)1,
- Bernard Lavilliers (2002),
- Sanseverino (2005 puis 2014).
- Olivia Ruiz (2009)
ça ne va pas non plus nous rajeunir trop (je me souviens du tube les lavandières du Portugal (tube du premier) (la dernière est une des égéries d’ici) (il faudrait en faire la liste -Anna M, Amalia R., etc.) qui pourrait figurer dans les pages blanches à la suite des 479 JMS à couverture rose (abjecte)) – en tout cas, je trouve déplorable que le boucher de Moscou (comme on l’appelle) (ou le tsarulet) n’assiste pas (car orthodoxe quand même) au raoût de taleur sur l’île de la cité, face à la préfecture où Quasimido prononcera un discours (intérieur, à cause du vent ai-je cru comprendre) (si les éléments si liguent contre le jésuite menteur, où va la vie ? ) – et donc dommage : je ne vois guère d’oncle qu’on amnistierait après l’avoir condamné pur avoir servi et sauvé la France comme le monde…
Passé à la boutique du haut de la rue pour chercher un petit Kats qu’on posera au mur de la secondaire cuisine (il y a quelque chose d’assez généreux dans cette petite boutique qui rend le quartier comme amical)
marché poisson/blettes/citrons/échalotes/fromages
sans image sinon celle-ci que je repose presque immédiatement
après l’avoir attrapée (assez vilain – j’ai l’impression qu’ils et elles sont une douzaine)
au ciné Le grand tour (Miguel Gomes, 2024) magnifique (peut-être un peu de longueurs, mais c’est un cinéma que j’adore, tout simplement – je me suis souvenu du chanté Ce cher mois d’août (2008) et de son Tabou (2012) qui va assez directement à la boite de la cave de la rue Dauphine) (j’ai taxé le film annonce il y a quelques temps j’en ferai un billet ville&ciné pour l’Air Nu, après celui en projet sur Gaza)
en familiarité et accord avec le premier paragraphe (sauf pour le petit prince qui doit triompher intérieurement l’archevêque lui ayant refusé de parler à l’intérieur et il pourra à loisir privatiser ND pour se refaire, croit-il, une popularité qu’il finit par deviner ne pas être à son summum… alors que sa contribution ne fut qu’un délire d’idées au début et que le financement est majoritairement privé si j’ai ben compris avec petits dons et gros de nos merveilleux milliardaires qui font de l’optimisation fiscale et des actes de charité ostensible au lieu de faire les deux)