2597 Mercredi 4 Décembre 2024
marché trois (petits) avocats 1.5, et une (grosse) tomate 0.70 – traduit-on ou convertit-on encore (6.55953 si mes souvenirs sont bons – osef) sur la rue, le sibyllin
un message ? une prévision ? un souhait ? une malédiction ? (mais tous les âges sont beaux pour mourir – je me souviens de Little Big Man (ArthurPenn, 1970) Peau-de-la-Vieille-Hutte : « c’est un beau jour pour mourir »…) prévoir le futur – quelle audace – en face
pourquoi pas, un jardin en ville (la vérité mise à nue par son arrosoir même) – marche en mâchonnant les tenants et aboutissants d’Aldo – un film à l’ina apparemment partie d’une série (« assassinats politiques ») intitulé Mort à Rome L’affaire Aldo Moro (réalisation (Michel Noll) complotiste) – oui quelle affaire (en préparation la cuisine 3 soit : la méthode – il existe déjà un chapitre ainsi intitulé mais ça ne fait rien, on reprend, on réécrit peut-être car on aime Echenoz, le Jean qui de la sorte pratique) – croisé cet hybride tri-roues-toit
on allait jusqu’au fleuve qu’on traversait (je dois penser à madame Breton) – ici un exemple d’une autre série (notulienne crois-je me souvenir – je la poste, je vous dis) coin saints-pères/boulevard
encore un effort pour être révolutionnaire : les deux du pouvoir exécutif sont dans le déni (non, bien sûr que non, je ne peux pas y croire) (à force ils en deviennent non pas comiques, ce qui leur serait qualité – ils n’en disposent point – mais pathétiques) – ici une merveille mais ce n’est qu’un placard
d’un comptoir italien (prix : 5 chiffres dont le premier est un 3 – à vos crowd-fundings) bientôt Noël (n’est-on pas aujourd’hui quelque chose qu’alsacien.ne fête comme je ne sais quel être béat ? le 4 me dit quelque chose tout à coup – osef à nouveau)
idées noires cependant – et toujours la mort rôde (comme dit en début de billet) (fatigues et vieux os) croisé cette officine
lire documenter travailler pleurer encore
oh c’est vrai le texte fluvial j’avais eu une velléité mais j’ai oublié et ne sais quelle était mon idée – pour le 3 l’ai fait hier mais mon idée de dimanche soir s’était fanée et c’est laborieux (et surtout suis lente en tout et n’ai guère lu que les quelques 3 publiés shame)
pleurer oui mais en espérant que ça donne force en nettoyant
@brigitte velerier :après ce n’est que le vent et les vieux yeux… Merci à vous Brigitte
Belle récolte de photos (le tag mural, la table avec l’arrosoir où il manque la machine à coudre…).
Concernant « Baudelaire », il s’agit de l’ancien hôtel d’York (61 rue Sainte-Anne (2e).
Tu n’es pas sans savoir que Baudelaire habita une quarantaine de domiciles à Paris (par exemple aussi avenue de la République).
Ses traces sont donc visibles – pour qui sait regarder – un peu partout dans la capitale ! 🙂
@Dominique Hasselmann : merci pour le lien !! :°))