2594 Dimanche 1° Décembre 2024

elle avait chu, on l’a remontée (la glycine – deux tonnes…) (on ne s’étonne pas du mal de dos) à mes moments perdus (« j’me fais du souci pour le prince/j’me fais du mouron pour le maçon » disait l’autre) (Bashung) tenté d’écrire un texte en consigne 2 mais j’ai dévié – quoiqu’il en soit la machine foire ici – on s’en fout – faisait beau, le soir un bon feu – le matin humide et froid : lumière de neuf heurs moins le quart

les abrutis de la voirie ont encore saccagé le chêne (prendre une photo écrire à la wtf mairie, laquelle a élevé les illuminations au rang du sublime – enfin à son goût : la police était de sortie hier soir, faisant la circulation, barrant les routes afin que le vulgum pecus admirât ce qu’on fait de ses impôts (le populisme a bon goût à l’extrême droite – noël cette nouvelle nativité…) – non, en effet, ce n’est pas la même ligne – dégoût profond) – retrouvé cette image qui doit avoir quelque cinquante ans (non, peut-être trente – en fait 43)

(Les uns et les autres, 1981) – soit quinze plus tard qu’Un homme et une femme (au compteur, cinquante et un film – ils ne peuvent décidément pas tous être bons… « il y a deux sortes de producteurs, les sales cons et les voleurs » disait-il lucidement) ces hommes de cinéma aux multiples épouses (sans parler de leurs diverses et éclectiques conquêtes) me font penser à Zsa Zsa Gabor (au prénom de feu) et Georges Stevens – la conquête, hein, Conquistador…) (après tout le plus bel homme du monde ne peut donner que ce qu’il a)

– des nouvelles d’Aldo (merci !!)

c’est quoi ces histoires, je ne sais, mais elles déboulent et s’éteignent tout à coup (ah pardon, j’ai oublié…) – A. a tapé trente-quatre… quelques minutes d’inattention, et les voilà adultes…

back in babylone sans doute taleur

Bon dimanche