2582 Mardi 19 Novembre 2024
j’en termine avec Fariba – teuffette : on ira peut-être se présenter – pourquoi faire ? soutenir la liberté de recherche en sciences sociales ? peut-être – peut-être irais-je donner un coup de main aux camarades d’attac pour (m’)affirmer mon dégoût de ces gâchis conso-outrances – la militance m’effraie mais sans union peu de force – aldo est en panne (regardant ici, je le vois apparaître, en suivant l’étiquette, vers vingt-vingt – je suis là, je le suis dirait brel – c’est dans Orly – cependant le 10 bis en traite – les trois cailloux restent en poche arrière (et non amère) – hier il y avait café ici
(sans que j’y tienne absolument, j’aimerais comprendre la magie sociale – et financière à n’en pas douter – induisant la gérance de ces officines du vice (ne le nions pas) à des personnes d’ascendance asiatique) – je voudrais savoir) – ici je venais chercher les filles, les conduire en auto au conservatoire du 8 les attendre et rentrer à la maison des années durant – au bar un café) – au val-de-loire (un autre bar d’habitude) réunion d’avant noël (E&L et A&B) – rires (kdos de Guérande) – failli garder une carte en secret mais non – deux trios pour la route
tapenade/rémoulade/betteravade – le tout maison évidemment – réussies, en accompagnement du curry de poisson aux amis de la Mare – le soir, drapeau jamaïcan made in belleville
pratiquement
en face Les nuits de Mashhad (Ali Abbassi, 2022) (prod suédo-franco-germano-danoise) la dénonciation manque sa cible (scènes de sexe explicites assez dérangeantes mais osef : harcèlements abjects mais manichéisme forcé) – en fait, non (prix d’interprétation féminine pour Zar Amir Ebrahimi, qui réalisera plus tard Tatami – à Cannes, 2022 président Vincent Lindon)