Pendant le weekend

2573 Dimanche 10 Novembre 2024

 

 

 

 

 

mon œil valide fatigue grââââve – tout le reste aussi si on va par là – au lieu du dry (vaguement) habituel  j’ai abusé du pif – couronné de whisky japonais – mais enfin l’après-midi fut culturel si on peut dire (la paume et son jeu) arrivés vers treize dix : personne – la séance de Golden Eighties à laquelle on voulait assister (sans trop de fébrilité, c’est vrai) (on aurait aimé peut-être) (les films musicaux me fatiguent et j’en ai eu ma part avec le dernier du fils audiard – ça va bien) était complète – on a été voir l’expo (une installation peut-être) où on peut comparer la graphie de la cinéaste (ici à propos du film Je tu il elle (1974)

avec celle de sa mère (vers le début des années soixante dix – en date du dix juin)

On peut consulter la plupart des synopsis et/ou dossiers de presse, dont celui de La Galerie

ça ne fait pas le film mais enfin ça peut aider (j’ai conçu de remplacer le billet Quatre-vingt d’or de la maison[s]témoin, censuré, par un autre, plus personnel – il ne subsiste dans l’exposition que quatre lignes sur le La folie Almayer ce qu’on déplore) (en vrai, on s’en fout, on aime beaucoup cette Chantal-là – le reste n’est qu’internetiture) (ici même quelques billets) (ou ailleurs) puis sortant, la magique exposition de Tina Barney (illustrant le thème des photos de familles) posées

avec une dimension ironique bienvenue – hexis vêtements objets détails arrières plans – magnifiques – ici le père et ses fils – la haute, certes – d’une certaine manière – sortir : attente de quarante personnes – joueurs de boules tuileriesques

et personnage au nino (hurlant)

 

On suit le block-note de Christine Jeanney (qu’on remercie ici).
Bon dimanche

 

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2 Comments

    qu’est-ce que c’est, cette histoire de censure sur la maison témoin (tenterai d’y aller voir ce soir… suis en mode noyée dans un dé à coudre de l’antre)
    savoureusement parlante la photo de famille (fais retour en arrière)

    et un jour du mal avec yeux et doigts (pas grave ça passera mais pardon demandé)

  • @brigitte celerier : le mot « censure » est lourd: j’ai eu la malencontreuse idée de prendre des images appareillées d’un droit de copie – l’agente du photographe en question (celui du plateau du film Golden eighties) m’a indiqué vertement (avec toute sa wtf »diligence ») que c’était (très) vilain – et qu’il fallait demander au type en question l’autorisation (ce que je ne fis point, l’ayant tenté un peu à un moment, puis abandonné – j’ai (je reconnais) brait et retiré illico le billet (toujours en brouillon sur le site de la maison) – je recommencerai un de ces quatre matins. Merci à vous Brigitte

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