Pendant le weekend

2551 Samedi 19 Octobre 2024

 

 

revenant du marché

ça ne peut pas être un hasard, sinon objectif – lecture « les enfants du large » et l’histoire de l’Algérie écrite par Alice Zeniter – tranquillement – parallèlement – puis aller voir le café de la Mairie (un café au bar : 1.60 e) – lisant, puis sortant , ambiance délétère – j’avais pensé qu’ils et elles s’installeraient en haut – mais non, je suis parti : sur les bancs alentours des gens écrivent sur des cahiers (m’a fait souvenir d’une précédente année), lisent, sur la place passent les autobus (le 63 en particulier) – une espèce de journaliste interroge, je suis allé prendre un verre d’eau gazeuse sur la place saint-germain-des-près (SGDP) – dans la rue non loin, ce ne sont pas Bulgares mais Roumains (récupérer un peu du gâchis de notre monde)

le quartier est bouffi de bourgeois – je n’en suis que peu – ici, pour abonder : la modestie et la simplicité dudit quartier et des coupes des cheveux (on ne se trouve pas n’importe où)

derrière son comptoir, le receveur – je me suis souvenu d’il y a cinquante ans, on n’entrait pas dans ces cafés non plus que dans ce type d’officines (on allait plutôt au resto U mabillon de la rue éponyme – comme on dit finement) – les choses changent ? pas vraiment – le soir au ciné (un porto un kir une part de quiche : 22 euros – ça n’effraye pas le bourgeois…) (le barman fait aussi contrôle d’entrée et projectionniste – semble s’y croire pas mal, il faut dire que le cinéma est historique)

promenade dans Montmartre à minuit – la ville de nuit

 

au ciné (studio 28) donc Le comte de Monte-Cristo (Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière (le fils à Denys), 2024) standard (près de neuf millions d’entrées – depuis les débuts du cinéma, la trentième adaptation, peut-être) (sans parler des télés – le Denys en question plus haut en a commis une où Monte-Cristo est grimé en Jacques Weber (Faria : Henri Virlojeux) – il y a aussi en énième assistante une Neige du même tonneau) le cinéma n’est pas seulement une affaire de famille (on s’en souvient aussi en Jean Marais) valeur sûre (prod (avec son collègue) : le fils à Jean-Pierre) (en abbé Faria Pierfrancesco Favino, on l’aime bien, ce garçon-là)

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2 Comments

    n’entrais pas non plus dans ces cafés mais plutôt au Mabillon… n’y entrais pas non plus cinq ou six ans plus tard quand je travaillais chez l’architecte d’entretien qui avait un bureau sous un amphi de l’ancienne fac de médecine… mais la place si

    vous avez relu ce que chacun a écrit ?

  • @brigitte celerier : non,je n’ai pas lu – où est-ce ? Vous me direz… Merci à vous Brigitte (et ne cessez pas)

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