Pendant le weekend

2550 Vendredi 18 Octobre 2024

 

 

 

 

beaucoup à lire mais plus encore à écrire et que fait le rédacteur ? il glande – marche achète des livres butte contre un petit obstacle et s’étale presque – se démet presque une vertèbre – la fatigue le prend (il se lève trop tôt) – il court chercher le 68 P-B I (Daniel Cabanis, éditions Kunitachi, 2024)  (on peut encore en acquérir auprès de Marcel Navas, le directeur d’icelles navas.marcelarobasewanadoopointfr) dont il a acquis l’exemplaire numéro 16 (il en est 30) – il marche encore mais oublie d’aller s’entretenir avec le gardien – déteste le genre humain mais rit avec n’importe qui mais aussi avec ses ami.es (japonaise ou blaisoise) – fatigue à nouveau mais ne sieste pas – à nouveau oublie ses médications – écoute le côté sombre de la lune cadeau pour ses peut-être 16 ans de Dado – parle avec apap de son protocole et rit bien – reçoit une image de Charleroi (merci !!) où se produit la troupe des Nouveaux disparus qui continue

le chapiteau multicolore qui était dressé cet été dans la cour du théâtre du Soleil – son dos le fait souffrir (il n’est pas certain que la complaisance cesse par la distance affectée du dédoublement du style indirect) – c’était sans rêve, mais cauchemardeux quand même – passage au parc on on nettoie le canal

composée de

augmentée de

mais surtout du sujet même de l’image

les autres sont fortuits (je n’ai pas vu de cormoran, mais ils passent parfois) – et puis la pluie…

 

lectures (pas tout de suite  finies) L’art de perdre (Alice Zeniter, 2017) – Les enfants du large (Virginia Tangvald, JC Lattès, 2024) –  Paris musée du XXI° siècle (Thomas Clerc, POL 2024) – Péquenaude (Juliette Rousseau, éditions Cambourakis 2024)

Share

2 Comments

    tant à re-lire et tant à lire, tant à organiser et tant à penser organiser sans savoir le but que d’autres doivent fixer, tant ne pas savoir comment éviter de gêner
    et admirer ceux qui continuent (mais le faire bien obligée)

    et le monde

  • @brigitte celerier : en tout cas ici, vous êtes toujours la (très) bienvenue. Merci à vous Brigitte