Pendant le weekend

2539 Dimanche 6 Octobre 2024

 

 

en passant par là hier – c’est joli, un arbre qui croît – on ne savait pas mais on en entreprend une espèce (c’est le cas de le dire – clcdld*) de journal sans en connaître l’essence (probablement, comme avant, un platane, je suppose) (ici la suite des événements ou là aussi)

revenant du secteur Rosa Park qui possède quelque chose comme une âme (bizarrement car neuf et mercantilisé à outrance mais des bancs, des arbres de l’air du ciel – le beau temps aussi sans doute) la marche – relecture du journal de Leonardo Sciascia, puis du livre qu’il a consacré aux lettres d’Aldo (je lis beaucoup quand j’en ai le temps je n’écris pas je n’en ai plus : je ne sais quand je m’y mettrais mais ces mots d’ici  s’ils sont rituel et entraînement servent aussi à tenter de me mobiliser – pour ne pas (me) mentir sans doute aussi) (il se peut aussi que le fait de ne pas finir s’atteigne en cette forme de façon et de dispersion) (nous verrons ?) puis re-départ vers le ciné sur les boulevards et l’affluence aux théâtres (catégorie de la même eau) (samedi soir quand ru nous tiens sans probablement) il n’est pas certain que cette architecture-là me plaise

non plus que celle-ci

Paris là, la nuit

 

au ciné donc (au max linder un tombereau de publicités abreuve un public jeune et accroché à son bac de maïs soufflé, ça mâche et ça croque ça repose sa casquette sur ses oreilles, ça barbalakon certes aussi mais, semble-t-il et tout au moins à la mezzanine autant mâle que femelle, ce public – peu l’occasion de le croiser : nous n’avons pas les mêmes goûts) Joker 2 folie à deux (Todd Philips, 2024) (ça s’auto-intitule block-buster (appelé à un grand succès populaire… ahahah) (qui a coûté de quoi nourrir les malheureux de la planète – ah ? bah…) le scénario est indigent (je déteste les films de procès)  et triste (ça pourrait nuire) mais les deux acteurs sont formidables (Lady Gaga une présence d’acier – Joaquin Phoenix toujours aussi sadisé – CODM*)

Share

1 Comment

    aimé suivre l’arbre (spécialement en sa pré-adolescence en 2021, attendrissant)
    j’aime bien la porte Saint Martin pour sa masse et le côté brutal des bossages sans l’opulence de certains arcs de triomphe ou autres portes solennelles

Laisser un commentaire