Pendant le weekend

2525 B2TS Beaurepaire 2.2

 

 

 

 

suite – seulement les choses ont changé, on a posé là d’autres images – les bruits du monde me blessent, M. s’en est allée

il est vrai que je ne l’avais vue qu’une fois au Chat noir, mais je prenais des nouvelles sans qu’elle le sache, j’y pensais comme à ma grand-mère qui avait aux cheveux une teinte mauve – elle tombait à Allibert, la nuit dans la salle de bain, et cette adresse-là figure comme la dernière d’un de mes grands-pères (la piscine qui s’y trouve aujourd’hui, en 44, était une morgue) (celui du 67) – ça n’a rien de dérisoire, ce sont des styles, des signes, des présages je ne sais pas je ne crois pas –

ici il pleut c’est la nuit – premier jour de l’automne (« au diable vous partîtes » dit la chanson) reprenons en lui souhaitant plutôt le paradis
Or donc on change – celui-là on l’a déjà vu

à Barbès peut-être, ou dans le sud rive gauche ? – deux diables bleus veste à carreaux

déjà croisé aussi – innombrables items

la rue, le décor, le sujet

c’est dimanche, au parc, au bois, on s’embrasse –

surprises, jumelles ou cousines ? qu’est-ce que c’est encore que ce type ? un photographe

de rue

quelques images posées là : ici elle est à l’école

et là deux espèces de souris

(on pardonne parce que c’est certainement aux US) (navrant) et enfin toujours là (une des préférées – Raymond Gurème, celui qui aimait danser…)

Bon dimanche – back in Babylone’s diary mardi probablement

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4 Comments

    merci pour le sourire des photos
    pour le reste, désespoir (et nous sommes dans la famiglia face à un départ aussi, j’attends de savoir comment on va me transporter pour dire adieu à la Lozère)

  • @brigitte celerier : celui de l’institutrice est magique – pour le reste, toute ma sympathie à vous comme à la famiglia. Courage quand même… Merci à vous

  • On attend toujours une expo de ce photographe, Rachida Dati (darladirlatata), toute fraîche émoulue dans ses fonctions, va se pencher évidemment sur la question et dans les meilleurs délais… 😉

  • @Dominique Hasselmann : ses galeries, ses musées, ce sont les rues. Merci à toi (et bon courage…)