2518 B2TS Beaurepaire 2.1
Je n’ai pas vérifié mais ce sera fait (voilà :
(bien que l’importance d’une telle démarche m’échappe) – mettons en lien
ici
et là)
: on (probablement B2TS lui-même) (c’est un gars) a, vis à vis de ces petites images, des attentions précises – une espèce de service après-vente sauf qu’il n’y a pas de vente – or donc un jour marchant vers une officine de vente de dvd (je ne la cite pas, je n’aime pas qu’on me fasse faux bond) j’avise
(cliché robotique datant de mars 2023 – dixit le robot lui-même) ce mur où on discerne
quelques unes de ces images détériorées (l’imbécillité – ou l’avidité – de mes contemporains est abyssale) (je revenais déconfit du magasin fermé pour cause de vacances (c’était le 22 août dernier) : le répondeur téléphonique informait des horaires d’ouverture, le site faisait de même : le déplacement pour m’éviter les frais de port (6 euros sur le site de arte, le wtf producteur du dvd pour faire travailler monsieur fucking sourire sur carton) tournait en eau de boudin – d’autant que la marge de l’officine (5 euros) me laisserait gros-jean comme devant) (expression non répertoriée chez monsieur Duneton (Claude) et sa puce à l’oreille mais que le net traduit par
Après avoir espéré de grands avantages ou s’être cru dans une brillante position, se retrouver dans l’état où l’on était avant –
on s’en fout mais on garde contre le magasin, bien que parfaitement achalandé, une dent qui se mesure à celle ressentie vis à vis des diverses autres officines du quartiers (bien qu’on y trouve un coiffeur à la tête du client salon qui dit bien son nom…) – or donc à nouveau tout ça a été repris
j’en livre ici une moitié, l’autre viendra un autre jour (probablement dominical)
(je repose ici, de plus loin, l’autre en uniforme – j’agonis les uniformes – je hais les militaires – je déteste ces accoutrements) –
mais en voilà un autre (qui ici protège probablement la veuve – et les orphelins – avant de tuer des opposants (une pensée à Remi Fraisse, parce que)
Bon dimanche
(en lecture le Le culte de l’auteur (Geneviève Sellier, la fabrique 2024) qui n’y va ni avec le dos de la cuillère ni de main morte : roboratif, certes, mais un paysage cinématographique français (par extension (jte parle même pas des mœurs de cette corporation en Inde) international (Harvey Weinstein meurt à l’hôpital) absolument abject – et elle ne parle même pas de Pialat…) (brrr)
Il suffit de prendre le bon escalier (rue Beaurepaire) !
pas bien de ma part mais votre façon de conter les petits (ou moins petits) ennuis m’a fait presque rire… et vous en remercie égoïstement, tout en étant navrée (pour celui qui protège lavieillle c’est à condition qu’elle ait apparence bourgeoise)
@Dominique Hasselmann : et pof, on domine le canal… Merci à toi
@brigitte celerier : oui oh l’occasion crée le larron.. Merci à vous, Brigitte