2504 Dimanche 1 Septembre 2024
salade tomates poivrons aux le tout grillés sur table penchée vers le sud
(en arabe slatam-mechouia) augmentée d’une demi-pizza mortadelle – le soir sous le cerisier au soleil – les travaux avancés le jardin en état les arbres en grande forme (pas comme ceux qui bordent l’autoroute de la honte – soutenue, cette voie de parfumeur (et non de maçon), par la région socialiste : la vie est belle) ici la couleur vers l’orange
les livreurs livrèrent en s’engueulant comme du poisson pourri – l’un n’avait pas suffisamment braqué les roues du camion au goût de l’autre : quelque chose de l’indécence – la niche du nouveau venu avait été préparée lavée repeinte : on l’y installa – bricolage tonte peinture cuisine : que demander de plus ? Une possibilité, une forme, un agrément scriptural (on tente, on relit, on amende : restent les lettres d’Aldo…) – ici au fond, les travaux suivants (l’annexe… pfff) (on n’a pas fini de se marrer)
un roman en lecture (terrorisant) de Marie-Hélène Lafon (pas retenu le titre, mais ça viendra – anéfé : Les Sources buchet-chastel 2023) viol et coups d’une brute, méthodiquement et légitimement portés probablement quotidiennement sur une fermière, mère de famille rurale – brrrr
la domination masculine – un peu plus de cent vingt pages, j’en suis à la moitié – je me souviens d’une réunion dans la bibliothèque (nommée Charlotte Delbo) du 2 réunissant Bernard Chambaz et Marie-Hélène Lafon – invité.es sans doute par Michèle Gazier – le temps de mélico – j’oublie ou je laisse ? j’écoute regarde les images – je me désespère (retour dans le trafic insensé sûrement : en vrai non…) – il pleut
je nous souhaite bonne chance
simplement admiration (depuis le plat, la peinture… etc…) bonne journée à vous
merci à vous Brigitte (et bonne suite…!!)