Pendant le weekend

2503 Samedi 31 Août 2025

 

 

 

réussir à contraindre le stress (je ne pense pas que ce soit par l’entremise du bricolage : cependant  ponçage nettoyage lessivage peinture et tout le kit supplémentaire du jardinage – on ira à la déchetterie où les employés pavoisent les entrées de drapeaux tricolores et adoptent les poncifs frontistes fascistoïdes – merdella existe encore, semble-t-il, dans les idées et les désirs (après tout, les ordures sont à leur place) – le petit jésuite a failli, lui qui voulait donner le pouvoir à  cette secte – il vaudrait mieux oublier, sans doute – les bruits du monde : les ruraux en ont terminé des moissons, à présent leurs maïs transgéniques sont à point – lettre (les haies, les tracteurs ventre à terre) au président du conseil départemental qui avait été un temps général (le conseil pas le président – encore que je ne sache pas son pedigree (au président pas au conseil) – visite aux arbres : magnifiques mais sans images (les tilleuls, les érables, le buis qu’il faut que j’aille assainir – le laurier-sauce – les chênes – la haie…) – fatigue donc, des mots automatiques, des pensées tragiques – non mais ça va encore – au menu melon jambon cru des Napolitains de la place, artichauts à la mode boulangère ivrïote (un peu trop cuits)

je m’abîme un peu avec Aldo mais ça ne fait rien, c’est du travail quand même (j’ai oublié ses lettres mais j’y reviendrai) – dormir rêver partir revenir – moral à zéro mais c’est inutile, le temps est couvert doux gris calme – fait bon

back in babylone demain le un de septembre aux aurores (j’ai détesté croiser un 13 septembre dans la lettre de la mère d’Odette, partie de Drancy – détesté, aux pages 221 et 222 du 209 rue Saint-Maur)

 

Share

2 Comments

    à l’unisson
    et admiration aussi pour l’emploi du temps
    me répète que ne dois pas décrocher

    belles images (surtout la dernière)

  • @brigitte celerier : ne pas décrocher, certes, mais se ménager sûrement aussi. Gaffe… Bon dimanche à vous (merci d’être là)