Pendant le weekend

2498 Lundi 26 Août 2024

 

 

 

découragement complet – la venue des enfants ou la mort de Virginia Woolf dans le livre – ou la fin de l’été (comme dit la chanson – bluette émise par un couple, formé d’une actrice et d’un chanteur îlien) – la fin de la lumière – la recherche sur Aldo Moro à base d’images comme celle-ci par exemple

avec sa (l’une de ses deux) fille(s) Agnese – la plage ? quelle plage ? – drôle de mec – continuer encore (le prologue, le début, le reste, sans que ça devienne obsessionnel) – promenade à Montmartre pour chercher la mousse qui complétera le matelas de la chambre 2 – bondé de touristes – ailleurs – plus loin vers Abbesses (je crois déjà capturé mais je vais m’en assurer peut-être si je parviens à me sortir de cet état d’âme noire) (au fond, les briques de l’église)

c’est qu’après août vient septembre – non; mais non – marcher encore – deux jours en un

je préfère Belleville – j’avais, prenant cette image l’impression devoir passer mon oncle F. – on peut toujours projeter – ce box-office (en entrées) (un projet avorté mais qui pourrait être repris) ahurissant j’ai trouvé (je n’en ai vu aucun…)

après je suis perdu – retrouvé ces deux images (bien que pour la Louise, j’aie quelques difficultés à apprécier son travail) mais j’aime cette image, surtout son bonnet et ses (ou ces) couleurs

et celle-ci (je ne sais plus si elle a été posée en maison[s]témoin) de Gena (en fait, Mabel) sous influence (en fait, non)

mal découpée

 

en dvd La tête froide (Stéphane Marchetti, 2023) met mal à l’aise (j’ai pensé à ces personnes qui se montrent dédaigneuses – la semaine dernière, une autre fois aussi – et nous font penser que nous nous rachetons en faisant ce que nous croyons simplement juste, ou simplement de partage d’humanité – comment leur en vouloir, certes, mais nous vivons sur le même monde cependant – et quand même) une jeune femme déboussolée tente de refaire surface en se transformant en passeuse de réfugiés à la frontière italo-française, Alpes neige froid garantis, oufranco-italienne – l’interprète (Florence Loiret-Caille étant une des égéries du lieu) vraie et juste (et perdue) (happy end)

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2 Comments

    juste faire ce que l’on peut, sans illusion et sans nier le fait qu’au fond on se veut du bien à soi et laisser parler les autres
    rire un peu amèrement de la façon dont leur haine amène à nous cataloguer… et tant pis
    et guetter toute tache de lumière et tout sourire pour continuer puisque c’est ainsi on est là

  • @brigittecelerier : la voix (et la voie) de la sagesse… Merci, justement, d’être là – à vous, Brigitte