Pendant le weekend

2494 Jeudi 22 Août 2024

 

 

 

dans la boîte aux livres du coin trouvé cet exemplaire (écrit par deux de mes égéries)

(au sujet de l’une autre d’entre elles) que je me propose de faire parvenir à Christine Jeanney (plus une) dès la fin de la lecture – on écoutera avec profit sa minute papillon 35 sur le site de L’aiR Nu (je ne résiste pas à la publication d’un de ses magnifiques collages

) voilà quoi (merci à elle(s))
hier le parc en effervescence normale de ces jours-ci (camions à n’en plus finir, démontages, boucants chasse-feuilles etc. : une torture) puis longuement écouter les à voix nue  de Mosco Levi Boucault – la recherche de son film Ils étaient les brigades rouges (2011) dans une maison de la rue Beaurepaire (terres chasse-clouesques s’il en est) : le site marque « ouvert »/ le téléphone répond un message enregistré « ouvert »/ arrivé là c’est fermé: un seul mot pour cette officine « connards! » – outre cependant en même rue

déjà posée (mais je fais une comparaison ce dimanche, je pense – en fait non, ce sera le dimanche 15 du mois suivant) (elle a beaucoup changé – nous verrons) et puis ce tropisme détourné

tandis que deux jours de suite des douleurs intercostales (ou fasciales) paralysantes empêchent de travailler – le corps, ses raisons, la raison ignorée, tout le bataclan (j’ai pris cet été ce qu’on nomme délicatement et élégamment « un coup de vieux ») (vient immédiatement le fantasme crabeux, évidemment) – lecture donc (elles sont arrivées, la mère dédaigneuse, la fille adorable (dix-huit mois à tout casser) et elles vont partir) – ici (on ne le voit guère – bord cadre en haut à droite – un aéronef dans le ciel du soir

jte rapproche (mais on ne voit pas tellement mieux – j’aime assez les photos ratées – par ailleurs)

à peine

 

 

 

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2 Comments

    oh mon jeune ami accueil navré au pays des coups de vieux
    (celui de mes yeux m’autorise la lecture fractionnée du PDF)
    et oui merci à la Dame (et à ses efforts pour la fin à regret de la traduction)

  • @brigitte celerier : merci pour votre lecture, Brigitte, infiniment