Pendant le weekend

2467 Jeudi 25 Juillet 2024

 

 

 

 

tout cela m’est extrêmement pesant – je déteste partir – je n’aime pas trop rester – on partira – un certain dégoût (un verre au vert avec Bellevile et Bruxelles et le passage de dix voitures de flics toutes sirènes hurlantes en une demie-heure) (contrôle au faciès : le véhicule (grosse allemande noire jantes noires mates gros moteur, quatre-vingt mille euros) un type noir au volant, lunette de soleil, petit sourire : dix minutes de perdues) (on est protégés, ça ne fait pas de doute : de quoi, reste la question – ça n’empêchera rien) on marchait donc et voilà la pourriture (c’est juste humain : il faut passer, tu comprends bien)

qu’est-ce que ça fout sur terre, cette engeance ?
Des villes.
Des cimetières – j’allais à Montmarte il y a peu : un

deux

trois

ma tête bringueballe, la marque de la chute exposée en 31

puis une autre (le moulin rouge a retrouvé ses ailes mais ce sera sans réelle image désolé)

, Kamala certes mais enfin quand même cette pourriture arrogante dans le poste (pas vue, juste entendue de loin et l’hypocrisie jésuite en pleine action dans la nomination aux postes généreusement pourvus : quelle saloperie, typique de cet individu) – tant pis un exemplaire du poivron à la romaine d’hier

dans les trois semaines qui viennent, ça va être difficile mais ça viendra de temps à autre – peut-être régulièrement (il faut aussi en terminer avec l’atelier). Tandis que le nouvel appareil fait son apparition – et c’est tant mieux.

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4 Comments

    en co-réaction

    mais vos talents de cuisinier

  • Poivron à la romaine, appétissant en diable ! pas photo avec les vagues frichtis que je me prépare.

  • @brigitte celerier : « talent » est un bien grand mot (d’ailleurs je suis fatigué des menus) – merci de passer (et courage pour la 32)

  • @Elise : fais un effort, allez… Merci à toi