Pendant le weekend

2453 Jeudi 11 Juillet 2024

 

 

 

je m’attends à ce que l’imbécillité ambiante s’acharne sur cette pousse libre

tant il est vrai qu’il s’agit de la posture (l’une des, soyons courtois) la mieux partagée de l’humanité (il y a aussi la cruauté) : chacun de mes passages (j’allai au Poulpe avec A., E. et B.) je l’immortalise (car la photo immortalise – bien qu’opérée avec un téléphone portable, elle devienne, de la part de fâcheux certes, l’objet d’un mépris sans fond – illustration si besoin de cette posture dont il est question au début) – le perrier y est bradé à 4.5 – marche en avant – j’ai repris la 19 dans une foultitude d’images – je reprends la 20 dans une seule imaginaire (déjà donnée d’ailleurs) – je dois un article Six pieds sur terre à ville&cinéma – aujourd’hui – hier confitures donc

objets finis (la chanson des Frères Jacques : pourquoi y a-t-il des trous dans le pain)

parfait? je ne sais – l’image en tout cas le suggère – tenté de joindre apap sans succès – regardé le monde passer, puis aller chercher un livre de recyclivre, je me suis fait incendier par le vendeur parce que (histoire de la cia par son président : encore un achat indigent) je n’avais pas reçu de mail pour venir le prendre – le type parlant français come une vache espagnole (ah oui, tiens, ça faisait longtemps, cette expression) s’adaptant à son mieux à l’adage énoncé plus haut – hier le soir (le petit pan de mur) était jaune, aujourd’hui « le fond de l’air est rouge »

sublime forcément – le zoom n’est pas exactement le point fort du capteur de 25 millions de pixels – mais celle-ci, très réussie (parfaitement si tu veux mon avis) pour décrire mon état d’esprit

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4 Comments

    ne verrai pas à travers vos mots les images de la 19… avais renoncé à l’écrire faute de temps, et fatiguée par la gêne d’être à la fois dans et en marge (de plus en plus) de l’atelier et puis dans ma petite insomnie de ce matin (moi qui vais lutter contre le sommeil tout le jour) l’ai écrite… la solution serait peut être de le faire sans publier.
    Mais je ne me prive pas du plaisir de vous suivre de loin via ce journal.
    Quant à l’imbécilité humaine je tente de ne pas y tomber et de ne pas trop la voir pour égoïstement me préserver (heureusement qu’il y a aussi la gentillesse)

  • Là où Attal passe, l’herbe ne repousse pas… 😉

  • @brigitte celerier : nous sommes (juste)àmi-chemin-et pourlereste… Merci à vous (et vos chroniques du festival) : trop bien – continuer. Avec vous

  • @Dominique Hasselmann : c’est faire bien de l’honneur à ce petit cintré – aux affaires courantes.. Merci à toi