Pendant le weekend

2452 Mercredi 10 Juillet 2024

 

 

 

hier j’ai adoré l’orage – les éléments déchaînés tandis qu’au ciel passaient les mirages – ou autre chose répétition de fêt-nat – j’étais allé retrouver la troupe au Terminus château, E. y mangeait des frites – puis tout ce si joli monde (mais fatigué) s’est envolé, j’ai donné quelques cerises – le soir, pour la dernière, le chapiteau chapiteau était comble – je suis rentré avant la pluie – avant ça, le matin j’avais pris cette image

un des feuilletons arboricoles (celui-ci, on l’a vu naître et on a vu disparaître l’antécédent garé à cette même place – aka arbre Corentin) – dénoyautez, dénoyautez

il en restera toujours quelque chose

je pensais à la 17 (je n’en lis guère des compagnons de route (qui sont surtout des compagnonnes – à proportion de 3 pour 1) mais enfin, je vais sans doute y passer un moment tout à l’heure) (inch allah – si dieu veut – enfin tu m’as compris) c’est à-peu-près vers ce moment-là que le ciel s’est fâché – puis plus tard l’irruption de ce pan de mur jaune

le ciel s’était radouci – sur la planche, le pain (pétri, cuit, publié)

c’est en maison[s]témoin (laquelle a été réhabilitée de ses cendres électroniques par la grâce de Joachim Séné et Guillaume Vissac – qu’ils soient ici remerciés) le deuxième épisode qui rend compte de la première Scène intérieure intitulée Faits par son auteur Marcel.

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4 Comments

    o merci d’être la même si ne lis plus rien ou plus grand chose et vais commenter encore moins (cinq minutes par bout de phrase ce matin… me réserve la maison pour plus tard
    et à défaut de cerise déguste par petites bouchées prudentes toast à la confiture de cerise en hommage aux vôtres

  • Petit pan de mur jaune, portail du camp d’Auschwitz… les souvenirs se ramassent à la peine. ==================================================================/

  • @brigitte celerier : merci pour l’hommage. Et pour le passage (bonne journée à vous)

  • @Dominique Hasselmmann : les regrets aussi. Merci à toi