2424 Mercredi 12 Juin 2024
je vais braire – trop tôt trop de course à pied – je braie, prendre un train à 7 et demie est une offense aux bonnes mœurs – je pars, au bout de Montparnasse – hier il faisait beau et c’était assez fête – on repeignait la folie
on allait ici ou là – quelque peu désorienté ou désaxé ou quelque chose , en croisant par exemple ceci (repensé à ce « assimil » qu’étudiait mon père (anglais) et dont j’avais une appréhension (le sens de ce mot avait un effet délétère sur ma perception des choses et du monde) – l’arabe de l’année dernière ne m’a pas servi de leçon) – j’ai laissé
ou cela (il en met partout)
cet autre espèce de fioriture
(il ne fait aucun doute que le monde regorge de cinglés – d’autant que l’état des hôpitaux psychiatrique n’a rien à envier à celui de la sécurité sociale ou des pensions de retraite – il faisait chaud) ici le marronnier d’arbre en pot de l’Équerre, somptueux ?
en tout cas pas rancunier – deux autres tentatives d’épuisement des menus parisiens – celui-ci dans les jaunes (d’œuf, va sans dire)
celui-là dans les verts
et un verre en terrasse avec B. et ses parents (cadeaux (dont ce bouquet sublime) trop gentils – merci encore les ami.es)
j’ai pris froid – je suis décidément un être fragile – encore que – une petite violette tsais – le soir envie de mourir vite – mais non : en tout cas, pendant ce temps-là, la grande asperge (aka Françoise Hardy) (sans doute cela vaut-il mieux pour elle au moins) se tirait…
– Menus parisiens : attention à l’indigestion !
– Françoise Hardy : j’ai repensé à sa rencontre avec Bob Dylan… 🙂
bien d’accord prendre le train à cette heure n’a rien d’humain (enfin ne devrait avoir rien)
pour le reste aussi
et je renouvelle les vœux qui deviennent de bon après-anniversaire
@Dominique Hasselmann : je fais gaffe, oui. Merci à toi
@brigitte celerier : très gentil à vous. Merci d’après encore donc