Carnet de voyage(s) #144 ter (2807)
des trois (ou quatre) qui le constituent,nous n’en avons vu que deux – les plus à l’est – et à l’est de la première se trouve le théâtre d’Epidaure – pure splendeur géométrique qui ne tient pas dan les clichés – ici pour idée,une vue satellitaire
Epidavros – ça se visite
douze mille places, dit-on
impressionnant – ici « l’entrée des artistes »ai-je cru déceler
après on monte difficilement – d’en haut s’entendent les cris des jeunes gens
ou des plus âgés,en groupes organisés ou en classe – magnifiquement
puis on est revenu à Nauplie, promenade le long de l’eau en fin d’après midi
on aperçoit une nageuse courageuse, bord cadre en bas – on goûtera, tout à l’heure et plus loin, la fraîcheur de l’eau (ce sera sans bain, sinon de pieds) – là, rapproché, un voilier
ici ces reliques
le soir, sur la jetée
si les palmiers sont penchés, c’est juste une habitude prise, le vent ne s’est pas levé
encore une photo
et le lendemain on partira pour Gythion (imprononçable, et autant le faire »à la française » -le »g »est une espèce de « th » à l’anglaise, et le « th »est d’une autre teneur, il y faut un long entraînement)
Bon dimanche
MERCI pour m’avoir donné l’impression d’être en train de ressentir vertige du corps et de l’esprit à Epidaure
MERCI pour la douceur de Nauplie, pour le rapprochement des deux reliquaires (sourire)
pour la mer immense et éternelle
Bel amphithéâtre (cela m’a fait penser au stade de Lille, hier soir, mais en plus petit et silencieux !)…
J’adore la photo de la mini-chapelle et de la cabine téléphonique : tout un symbole… 🙂
@brigitte celerieer et Dominique Hasselmann : merci à vous