2655 Jeudi 4 Avril 2024
toujours dans les limbes (noires – mot féminin ? non, masculin pluriel – noirs donc – un peu comme gens) – marcher toujours – avancer pour ne pas tomber –
un long moment au téléphone il a été question de l’élagage du frêne majestueux (on en a ici une vue robotique
(on distingue la proximité de la menace pour le pavillon voisin droite cadre) (la voisine – probablement la femme du voisin (!) – a su nous trouver pour nous parler de sa peur de voir choir sur ses propriétés quelque branche mal assurée – son mari, le 8 mai 2020, alors en train de tailler sa haie (pratique dont il avait usé tout le jour, il était alors neuf heures du soir) – laquelle haie s’aperçoit en bas de l’image – nous avait aboyé un « vous n’êtes même pas chez vous » lorsqu’on lui demandait de cesser ce bruit – ce bruit de flatulence doit être noté sur ce journal) (de manière générale, aux dernières élections d’ailleurs plus de la moitié du village a voté pour l’ordure)
à la fenêtre le vert tendre du printemps – dans les rouges – ceci qui conviendrait parfaitement (je suppose) à une »poétique de la voirie » dont avec impatience on attend une parution – que faites-vous, Employée ? On ne vous voit plus…(si vous voulez ce cliché, il est à vous – ce serait un honneur…)
ces plantes urbaines qui inspirent une certaine sympathie avec l’ami Olivier Hodasava – ici le cliché de Nagasaki – sous le lien les siens
le passage vers la rue du Borrego et celle de Pelleport (c’est dans le 20) où une pizzeria et un hôtel constituent une entité du même métal téléphonique
attends que jte rapproche (le sept-jours-sur-sept semble vaguement mensonger)
on en a profité pour croiser ce garçon fort fleuri
(je ferai bien un café – non il est 4 du – ces insomnies jt’assure) et comme on en est aux fleurs ici couleurs en souvenir de DL
et le prunus comme de juste
en face Vie privée (Louis Malle, 1962) (où il se confirme que BB jouait incarnait comme une savate une starlette de cinéma – elle est de 34, toujours parmi nous (le minuscule du faubourg saint-ho et sa malheureuse bobonne s’ingénieront sans doute à la flanquer au Panthéon après ses funérailles nationales…) – l’amour est probablement aveugle – hors sa plastique avantageuse, et encore : rien) (l’image de la star défaillante (mais en noir et blanc) est détaillée ici)
on posera en maison[s]témoin un billet sur le Dali taleur
oui avancer pour ne pas tomber Piero (et parfois se dire zut)
oui les arbres et les problèmes plus ou moins énervés du voisinage
oh la beauté des arbres au printemps (pas mal ensuite aussi) – oh le garçon fleuri (contribue à la poésie urbaine)
belle journée à vous
Oui, le garçon fleuri mériterait d’être embauché par Interflora ! 🙂
Ne vous inquiétez pas, je suis là, et vous lis discrètement mais pour ce qui est de la poésie de la voirie et plus généralement du monde qui nous entoure je n’en vois pas beaucoup en ce moment. C’est comme ça, la série reprendra peut-être, ou pas, qui sait ?
@brigitte : garder la tête froide – et oui : zut ! -merci à vous
@Dominique Hasselmann : pas de publicité mensongère,svp… Merci à toi
@l’employée aux écritures : j’aime votre discrétion, Employée – mais oui, nous verrons… Merci à vous