2652 #Carnet de voyage(s) #142
il faudra bien que les choses se fassent – c’est toujours difficile de perdre ses illusions (le mieux serait de ne s’en pas encombrer – mais c’est doux vaguement proche et reconnu déjà occupé et utilisé (utile, sans doute pas mais enfin…), c’est un peu là) – le réalisme ? quelle drôle d’idée… et pourtant on y a cru…(dans l’atelier, j’ai devancé la librairie – j’ai shunté la bibliothèque – j’ai recommencé un carnet mais) probablement qu’à force de donner sans recevoir, la générosité s’épuise (c’est un sentiment et une attitude sans retour) – on reste sans nouvelle
l’Italien du village voisin a donné sa recette de pâtes aux calamars – ce type de produit (il préfère l’oignon à l’ail – moi aussi donc) (penser aux câpres surtout)
dans le jardin un hôte dont on se doute de la présence mais qui, là, semble parfaitement avérée
on voit au fond deux des cinq pieds du portique dont on découvrira le haut ici
on a déplacé le figuier pour qu’il prenne le soleil (il se trouve (on ne le voit pas d’ici) juste dans l’axe du forsytia/cerisier bord cadre à gauche en bas de l’image) (prendre une image tout à l’heure peut-être avant de remettre les voiles – il fait froid – en Turquie le footballeur et son parti fascistoïde a perdu la face (municipale, certes, mais tout de même) : la nouvelle génération pointe) – le soleil va donner
dans l’adaptation télé (Claude Santelli – j’ai oublié l’Ina mais je suis abonné : regarder une émission de télévision (ou une série) me semble pourtant la manière suprême de perdre mon temps) Rubempré était joué par un Yves (je ne sais plus je ne cherche pas – il a très mal tourné) (jouait aussi le rôle d’un globetrotter) qui est mort l’année dernière – osef ? un petit peu quand même – promenade du soir : avant il y avait là des arbres et des haies (mais les propriétaires de ces terres-là estiment que ces éléments ne sont que cosmétiques : ils les arrachent à cœur joie) – ici un champ
là un contrechamp au colza indus
avec un peu plus de connexion, je poserai ici la même image d’il y a quelques années – Joyeuses Pâques (c’est déjà fini : chocolat/agneau) ?
merci pour ce coup d’oeil sur vos vacances (pour l’atelier je commence à me dire que vais tout shunter mais n’arrive pas à me décider)
oui l’animal humain quoi qu’il en ait garde toujours une petit graine d’espoir ou de crédulité et on a beau lui taper dessus elle renait toujours
Le réel : vous êtes nécessaire à beaucoup