Pendant le weekend

# sans numéro Carnet de voyage(s) #141

 

 

 

cartes postales en (presque) direct – travail en cours, lectures écritures

vers onze, le prunus éclate – on va manquer son effervescence –

celui de l’autoroute (passage chez le vendeur suédois (vendeurs parfaitement accorts), labyrinthe de souris, parcourir, bougies, pas de hareng)

montage de l’objet – promenade (la casse du paysage et des haies toujours en cours – de plus en plus soutenue – proportionnelle au dégoût qu’inspirent ces pratiques)

une carte postale venue de la mer (d’Iroise) – merci !! (la précédente envoyée en retour)

fraîchement – faire du feu – repas repos

jour plus tardif

ah quel terrible huit heures du soir

 

 

dans la boite La classe ouvrière va au paradis (Elio Petri, 1971) (palmed’or ex aequo avec L’Affaire Mattei (Francesco Rosi, 1971) avec le même Gian Maria Volonté – limite burlesque

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2 Comments

    beau cadre, qu’il vous soit bénéfique
    une grande envie (à laquelle vais céder je pense) de, sans m’absenter d’Avignon (d’autant que vis dans l’attente depuis quinze jours de « penseurs » et ouvrier à leur suite pour revoir étanchéité de ma cour aux moments les plus incongrus – visites qui ne se produisent toujours pas, donc en restant dans Avignon) tenter d’écrire, de sortir de ma panne devant bibliothèque rêve que ne suis jamais arrivée à réaliser faute de discipline et un peu de décision d’aménagement et à la suite de m’engager dans notion de « nouvelle » chose devant laquelle je recule comme trop « auteur » pour moi… pour lire au contraire suis en plein dedans anarchiquement et hors internet, mais avec sérieux – toute cette culture philosophique et critique qui me manque (pardon demandé de me servir de vous pour réfléchir (sourire) et voeux sincères pour votre séjour

  • @brigitte celerier : oui, sortez de la panne… (rien n’est trop « auteur » pour quiconque) (allez-y foncez!!) (et au besoin, je sais lire…) avec vous. Merci pour les vœux (voilà que ça se termine ce séjour…)… à vous.