2641 Jeudi 21 Mars 2024

ce matin me levant un message pour la maison[s]témoin – rien un mot, un petit dessin d’un cœur (COFM) (comme on fait maintenant) (ce qui est un peu l’antithèse du « à l’ancienne ») (à vous, Temps Modernes) – hier un autre « tu me rappelles ton adresse postale steuplé » de l’amie de Mazères (j’envoie dès réception un exemplaire du « Et alors, Venise ? » qu’on prépara avec l’ami Denis Pasquier à Petra Reski, aux bons soins d’un restaurant vénitien) – une image de la maracas rapportée de Gênes pour le nouveau né de ma nièce

petite attention – une carte postale de Thessalonique (merci à E.) (j’ai tant aimé cette ville-là – je l’aime tant)

dans un format probablement COFM – marche en avant (pendant ce temps-là, on prononce des divorces; des enfants naissent; des gens passent) – garder un espoir, au fond, afin qu’il serve durant les jours gris – le printemps a été dignement fêté hier (rognonnade rolandaise : on était quinze au cinq-trois; j’avais préparé une mousse de betterave et un émincé de fenouil, t’inquiète) (CODM : t’kt) – courses donc, marche et ce magasin (il faut se dépêcher ça va disparaître)

de la même façon que cette cheminée unique sur la façade unique de ce dépôt cette usine (médicamenteuse, crois-je savoir)

derrière le lampadaire – tout ça pour dire que non, Aya Akamura n’a pas eu le temps le loisir la grace d’apparaître en maison[s]témoin mais ce sera fait dans la journée. On prépare la mise en place d’une cagnotte pour L’aiR Nu (à laquelle j’ai déjà abondé)

Une si belle journée – je pense à Norouz

« qu’est-on devenu ? » dit la chanson – qui tourne sans discontinuer depuis hier le Daddy (majestueux) de Yael Naim
Et donc pour ce jour

que ces jours vous soient (à nouveau et encore) beaux