2639 Mardi

on n’a guère le choix qu’entre sept solutions, quel que soit l’événement – pour Hiroshima, un 9 août 1945 est tombé un jeudi – c’est pratique – hier s’ajoutait aux autres jours, en lecture on apprit la tentative de suicide de FG (les mêmes initiales) lorsque son coureur d’amant (2(JS)) qui voulait une progéniture qu’elle ne pouvait lui produire s’en alla courir quelque jeunesse (elle était de 39, lui de 24) à qui il fit quatre fils (on doit à la vérité de dire qu’elle y mit du sien aussi)  : l’honneur en devint-il sauf ?) – cette façon de raconter l’histoire a quelque chose de choquant (je ne sais quel choc est le plus violent, tu vois…) – il y a cette chanson magnifique »Don’t explain« (chantée par Nina Simone, Billie Holyday et d’autres -« I’m so completly yours » dit-elle – non mais c’est vrai) – quelques cartes postales, ici Palerme

en format spécial (merci E. – hier un appel d’elle, de Thessalonique : la vie d’artiste… ) – ici une autre des Goguettes, de la Flotte ou de la Couarde, je ne sais pas trop

(merci N.) là les mandariniers d’Abela

(merci H.) et celle-ci (œuvre d’un photographe (professionnel, comme nous tous et toutes) dont j’ai oublié le nom, pardon) (dès que je le retrouve je l’attribue) (magnifique, avoue)

(merci à la petite fille de Marcel – aka E.) et puis celles-ci, en droite ligne provenant de Pantin

fin de journée

cette autre chanson

et le façon Rothko quasi contractuel

et donc au ciné Mis hermanos sueñan despiertos (Claudia Huaiquimilla,2024) (« De mes frères leurs rêves » plus ou moins traduit par ma pomme) dramatique, tragique même mais formidable (des jeunes gens emprisonnés veulent vivre à tout prix – des relations entre les acteurs formidablement mis en scène, des scènes de rêves magnifiques… du vrai et du (très) bon cinéma (comme on l’aime)) (deuxième long métrage, semble-t-il; il faudra voir aussi son premier, Mala Junta (2016) (plus ou moins « Mauvais plan ») (une autre histoire d’adolescents semble-t-il – on en reparle)