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un peu trop de pluie pour le marché – acouphènes – fatigue – sans doute me lève-je trop tôt – écouté à la radio ce numéro de « surpris par la nuit » lebovici des détails, qui vivait rue de la Trémoille – commerce de crins et soies, des notes – aujourd’hui « triangle d’or » – les gens qui parlent, retenir – peut-être moins à l’époque (à peine, proximité Champs Elysées, rue Bayard etc.) – le meurtre d ce Gérard-là toujours pas élucidé comme on dit –  puis le temps s’est calmé, et on  été voir à Beaubourg l’exposition d’histoire de la photo

(collection du musée et d’un des milliardaires français) –  pléthorique et trop fréquentée : on se disait qu’une exposition c’est choisir mais là, non – écœurant comme la presque obligation de sortir par la librairie d’objets dérivés – trop c’est trop

– on ne fait plus attention,quelqu’un surveille la sortie pour qu’on n’entre pas par là – des actions indignes : la masse et la consommation –  pour sortir du musée, il y avait la queue – « dépêchez-vous messieurs ça va fermer disait »chantait Pierre Vassiliu (il y a des années j’ai aimé ce lieu)

ah Paris… – marcher, croiser un salon de coiffure à porter à l’invent’hair

croiser quand même quelque chose de la beauté

au ciné Black Tea ((Abdherramane Sissako, 2024) la Chine et sa culture qui envahit tout le monde – il reste la morna magnifique du Cap Vert – je ne sais pas trop, mais sans doute quelque chose dans le montage (comme dans son Timbucktu (2014) du reste)

cinétek (3.99e) À la rencontre de Forrester (Gus Van Sant, 2000) (coprod: Sean Connery) initiatique de l’écrivain doué