2580 Samedi 20 Janvier 2024
tout est consommé – les déclarations d’impôt tombent comme des mouches et les créanciers de se manifester – non mais ça va bien – j’écoute REM à en perdre ma religion (de laquelle je ne dispose pas) – je croisai un type enchapeauté tout à l’heure, et il fait moins froid (ça n’a (en effet) aucun rapport) – et aussi un petit coupé Honda prelude magnifique (des larmes coulent – mais quatre roues directrices quand même) – en plein dans les comptes – et le silence formidable des commanditaires – ça ne fait rien, c’est le week-end, la loupienne va mieux et taleur ce sera rougail-saucisses (elle est pas belle la vie ?) – passé devant ceci
pas tant que j’aie aimé ses chansons (années 60 – j’étais prudent pudique puritain sans doute, je ne commençai qu’à peine à aimer Léo F. (dont il est question dans l’article) (je n’aurais pas aimé entendre Patti Smith chanter son magnifique « pissing in a river ») – jte rapproche
pas certain que ça se lise (l’article est bien) – le type là, Leny, comme moi, n’aurait jamais défilé derrière un drapeau, aurait-il été noir)
au besoin je l’envoie (d’ailleurs, il est décédé (en 2015) d’une insuffisance respiratoire – ceci, comme d’ailleurs le truc cardiaque, me guette)
à qui le demanderait – un signalement de l’amie Emma(nuelle) Cordoliani (que je salue) (encore par monts et vaux – plutôt val(enciennes) donc)
que je fis parvenir à l’auteur – Lulu deuch’nord assure (une carte) – et puis ceci en prévision d’un billet ville&ciné Oulan-Bator
à la pollution d’un air irrespirable
opposer une histoire de réussite scolaire (pourquoi pas ?) (Si seulement je pouvais hiberner (Zoljargal Purevdash, 2023) (Mongolie)
le numéro des Villes en voix et ma contribution en souvenir de l’ami Denis Pasquier lequel me manque
dans la boite L’étrange histoire du coupeur de bois ( Mikko Myllylahti 2022) extrêmement particulier (Finlande)
merci pour l’humour que vous posez sur ce monde qui va t’sais pour tous et d’abord pour vous
(aimé vous lire sur « les villes »)
vœux aussi impuissants que ceux que viens d’adresser à une de mes sœurs pour qui ça va bien quoique… (m’a pris une demi-heure pour respecter son caractère)
@brigitte celerier : merci à vous (toujours bienvenue)
Cher Leny Escudero… (bizarre, les points de suspension sont devenus minuscules…); et Luc Le Vaillant toujours bon pied bon œil ! 🙂
@Dominique Hasselmann : je ne lis plus libération – mais le Luc Le Vaillant me fait penser à Claude Sarraute – merci de passer