B2TS Louis Blanc 2.2

B2TS est un feuilleton pendantleweekend entamé il y a bien des années, lors du passage local de l’ami Chasse-Clou (aka Tournàgauche) aux abords d’un voisin hôpital – depuis l’exposition a doublé mais le rédacteur (comme pour celle qui jouxte une librairie du canal) a éprouvé une certaine lassitude à la répertorier – le lectorat est très obligeant et indique, parfois, d’autres emplacements que le rédacteur ne recherche pas, d’ailleurs (qu’il en soit ici remercié, à nouveau). Non, il n’entre que peu de fanatisme (peut-être photographique, mais je me soigne) (car cette maladie, telles l’orgueil ou la fierté, a le don de m’exaspérer) dans cette démarche, et cette exposition d’exposition : non, juste et uniquement des photos de photos (ce sont gens que je me plais, parfois, à reconnaître comme un peu nos visiteur.es du mardi) .

Les images se trouvent dans une proximité étroite, et m’obligent à, parfois, les retailler (OSEFU2P)

mais on tient souvent au regard direct et au sourire

encore que celui-ci (le sourire) soit une espèce de marque de fabrique (ou d’image de marque) de ce petit pays, gouverné par l’autocrate raciste décomplexé aux deux trémas qui apparaît plus odieux encore que son prédécesseur – lequel clapota, chassé et banni, en Arabie, eût-elle été saoudite –

geste, ou attitude impliquant parfois une espèce de gentillesse d’abandon ou de laisser faire et aller qui ne me plaît pas non plus

Restent les enfants

leur spontanéité et leur joie de vivre – après, qui sait ce que certain.es ont vécu et enduré…

ils et elles sont là, ce qu’ils et elles endurent encore, ayons au moins la dignité d’en accueillir sinon d’en retenir l’image

(celle-ci a quelque chose de loupé) : telle est la seule prétention de ce feuilleton

quelle que soit la couleur de leurs peaux

et une dernière

Bon dimanche