2510 Samedi 11 Novembre 2023
quels sont donc ces bruits qu’on entend de toutes parts ? la guerre ? les bombardements (on se souvient de Dresde ? d’Allemagne année zéro ? (2R, 1948…) non, « ce n’est rien, tu le sais bien le temps passe/ce n’est rien ») – il serait bien joli de voir un peu plus de soleil, mais non, « il pleut sur la ville comme il pleut sur mon cœur » – zona plaques rouges maux d’os peu importe – hier soir gigot et gratin dauphinois, prêt d’un On n’a pas toujours du caviar (encore merci) (Johannes Mario Simmel, chez Robert Laffont, 1966) un portrait de l’auteur dans la couverture
son héros est une espèce de James Bond mâtiné d’Arsène Lupin (ou l’inverse) (séduire par la gastronomie) avancer encore (bizarre comme l’image est de taille : elle était mal foutue, je te ‘ai changée) – l’hiver qui vient, on n’en sortira pas – Z. arrivée à Washington, un papier long comme le bras sur Nashville Tennessee (schmoll trouvait ça enviable – c’est à pleurer) (ou à mourir de rire – enfin les chansons sont genre vulgaire) – un peu de sérieux, un peu de travail, un passage sur cette planète – il suffit, peu importe : la rue, la pluie, de l’air et
le soir, tard
très joyeux souvenir très lointain de ce livre… merci de me rappeler le titre, souvent eu envie de la retrouver (bon serais sans doute déçue, mais lu à un moment où il était ce qu’il me fallait)
bonne journée à vous
@brigitte celerier : distrayant en effet – merci de votre passage (et bon dimanche)
Je ne connaissais pas ce Simmel (un faux air de Raymond Queneau), il est vrai qu’on manque de caviar ! 🙂
@Dominique Hasselmann: il s’agit pourtant d’un classique (on en reparlera) – Merci à toi