2503 Samedi 4 Novembre 2023

il y a le roman Chevreuse sur la planche (4 hôtels) – la fatigue est intense (l’assignation pour la moquette arrivée – « le monde est un égout sans fond » disait je ne sais plus qui, mais peut-être me souviens-je de ce Guillaume-là – brrr – je déteste les procédures, j’en suis tout éclaboussé, pas étonnant que je somatise) – novembre est toujours difficile mais octobre est passé (combien m’en reste-t-il?) par la fenêtre (au vrai un fenestron de vingt centimètres de large)

le temps qui passe (c’était hier ou encore avant) (oui, ne t’inquiète pas, je vais me soigner – il y a dans ces inquiétudes supposées (les si contemporains tkt des sms) quelque chose d’un peu frelaté) (restons sans inquiétude) maux de crâne de ventre de dos (spéciale dédicace à carcasse) pluie quelque chose du temps présent
ici un porteur d’eau (petit métier s’il en est)

j’ai manqué son diable seul avec ses belles bonbonnes bleues dans la rue comme un perdu (tant pis – en cause ce wtf nino de merdalakon qui ne s’affiche qu’après une vingtaine de secondes)

en dvd Mourir peut attendre (No time to die en vo cependant) (imitation jeu vidéo) (Cary Joji Fukanada, 2021) (production tourmentée covid, le réalisateur crédité a pris la suite d’un autre qui s’est fait viré – ou qui en a eu assez et qui s’est tiré) (un peu comme le double zéro sept prend la suite du précédent (il s’agit d’une femme (!) noire (!) : quelle affaire, Barbara…(on pense à son Albert de père, parfois – nous a quittés en 96 de l’autre siècle) – box office : 770 millions de dollars; prod (Albert Broccoli Eon’s productions quand même)  : 400… – non mais ça va bien, mister Bond)

ici une image d’Albert C. Broccoli (père donc)

distribution MGM (pour le tigre en papier…)