2491 Lundi 23 Octobre 2023

le zona a bon dos (clcdld) qui m’a permis (disons) de m’abstenir de participer au rassemblement de la république hier pour la paix et la cessation de cette espèce de génocide (disons à nouveau) qui s’exerce contre les Palestiniens, Sweet Revenge chantait Patti Smith (ça n’attendait que ça semble-t-il et la région, sinon le monde tout entier, se trouve à feux et à sang) (tout est accompli, ou presque) puis marcher quand même, deux officines cinq étoiles

pour rejoindre le Cent-quatre pour une exposition d’arts numériques (bizarrement, ce compartiment du jeu oublie très souvent sa dimension nécessairement esthétique – osefu2p peut-être mais on paye quand même (réduction plus de 65 ou gens du 19 – ça ne se cumule pas) 7.5e (ce qui n’est pas si onéreux) pour des présentations cependant assez discutables)

ici un triptyque très monumental (images de synthèses montées par intelligence (très) artificielle, musique grand hollywood comme un générique), là des robots mal en point

qui s’agitent dans cette atmosphère un peu parme et inhospitalière – on préférerait ne pas – on s’en va, on sort et on respire

un peu

en face Une valse dans les allées (Thomas Struber, 2018) taiseux, désaffecté, mais très attachant : les deux acteurs, Sandra Huller (qu’on a vu dans Anatomie d’une chute (Justine Triet, 2023) (plus de 1,2 millions de spectateur.s quand même…) et Franz Rogowski (qui n’était pas mal dans le Transit (Christian Petzold, 2018) qui ne valait cependant pas l’adaptation de René Allio (en 1993) où Rüdiger Vogler tenait le rôle) formant une espèce de binôme aux sentiments touchants.