2354 Lundi 5 Juin 2023
toi qui entres ici abandonne tout espoir d’y trouver quelque sorte que ce soit d’objectivité – elle n’existe pas – je reprends ici les propos liminaires du carnet
marcher – soutenir le poids de la chronique – chapeau/lunettes de soleil/mocassins/midi au soleil – quelques images du chemin, de la visite, du chemin encore – elle s’est jetée dans l’image de l’arbre
des pièces sont tombées chez JPBB (dont le P)
(mais on suit – un jour je regarde depuis quand) (il faut tenir la chronique) on va à Beaubourg – voir une expo dont le centre est un architecte (on s’apercevra qu’elle est archicentrée archipanégériste archiidéoligique) (on s’en fout, on ne sait pas, on y va) – on comprend dès l’entrée, on est noyé sous des centaines de cahiers, des centaines de cadre autour de dessins du maître, des centaines d’images
et ce n’est que le début (selon lui, l’écologie est sa chose…)
de mots de noms
qu’est-ce t’en penses?
pas grand chose – j’ai quand même pris une image de Trafalgar Square
et dans la grande salle : merveille
avoue quand même
celle-ci qui rappelle (avec mes excuses) l’ordure adolphe thiers
celle-ci surplombant
et sortant, le gros catalogue livrissime à la gloire de l’auto-artiste centre de l’exposition exposé afin qu’on s’en souvienne – deux images donc (restons courtois)
la passerelle jetée sur la Tamise et le viaduc magnifique
on est partis – sur Paris il faisait toujours beau – on a marché, on a croisé une tracteuse
ah oui – à demain
Il est vrai que du sommet de « Beaubourg » (la dénomination « Centre Pompidou » n’a jamais pris) on a toujours une vue imprenable : c’est donc souvent la meilleure… « exposition » ! 🙂
OUI j’avoue
mais il n’y est pour rien ou presque, c’était là avant
@Dominique Hasselmann : parfaitement. Merci à toi
@brigitte celerier : il n’y est que peu de temps…merci à vous