2348 Mardi 30 Mai 2023

(je ne suis pas certain, mais ce mois-là, froid, pluvieux venteux, m’a quelque chose de synonyme de mémoire – à chacun de ses quantièmes me reviennent des bribes incompréhensibles, éparses et diffuses – que se passait-il donc le 30 mai 1972 ? sans doute bachotais-je – le couple préparait probablement son voyage à Rome) revenant d’ouest, dans la boîte numérique aux lettres ce spécimen posté par l’Employée aux écritures qu’on remercie grandement (#420)

l’objet est réalisé en céramique et se trouve dans un certain musée Lambinet (Versailles, sept-huit) (évidemment inconnu du claviste rédacteur mais collectionneur à ses heures) (un tour chez l’Employée vous en apprendrait plus (sous le lien, plus haut) – avec, en prime ajoutée, une magnifique image d’un signe considérable) (une certaine Nathalie de ce patronyme l’a légué – le musée pas le lion ni (ô horreur !) le signe – enfin si (pour le lion) aussi sûrement peut-être probablement sans doute – qui se trouve en un bâtiment architecturé par un certain Porchon) – il se trouve qu’en ma villégiature ornaiso-calvadosique se trouve un autre bâtiment où on a posé deux effigies (ligneuses, il me semble) de cet animal – c’est sans photo (ce sera pour la prochaine fois) – et recherchant sur G. j’y trouve ceci

un chien blanc anonymisé (le monde est bien fait) mais les lions sont en place des pots de la même eau que le pelage du klebs – ils sont deux (les pots comme les représentations des rois du règne) ici pour preuve duelle

enfin tout ça pour dire que back (IRL- DL2V) in Babylone

au ciné (qui augmente, au premier juin, ses tarifs – vingt pour cent d’un coup, foutre ! de 4 à 5 pour les seniors dont j’ai le cran d’être) (quoique avec une carte d’abonné le tarif – 4.5 en achetant dix places qu’on peut offrir – ne subisse qu’une augmentation pourcentatoire de 12.5) le deuxième volet de Trenque Lauquen (Laura Citarella, 2022) mystérieux attachant d’un cinéma magique – mais blanche – beaucoup aimé (de là à chercher à voir le premier volet, je crains qu’il n’y ait un pas à franchir un peu trop difficultueux)