Pendant le weekend

2172 Mercredi 7 Décembre 2022

 

 

il vaut mieux ne pas commencer par lire la « compile »- elle ôte toute velléité d’écrire – ça l’a déjà été, ça le sera tant pis – heureusement il y a les images

chez Gibert pour acheter le cahier d’écriture (5.9) auquel il manque la transcription littérale (j’y comprends queudalle mais je m’entraîne à faire les lettres, encore les dessiner les graphier, les écrire donc puis à les prononcer, puis à les faire puis à les prononcer) – croisé ceux-ci (déjà à la série (mais point celui qui, un jour, s’arrêtait pour me dire, d’un ton agressif »pourquoi toi photographier moi? » roulant balkanique les r)

c’est vrai ça, pourquoi toi ? bonne question – passage par la papeterie

(camaïeu) (deux autres images dont l’une fera la « couverture » du carnet

non, mais les consignes tout ça c’est très bien)

– au marché des feuilles de laurier (méritées), un poivron rouge, six poivrades une salade une demi-livre de crevettes (le soir, penne-petits-pois-crevettes avant l’arrivée des trois) ne pas s’embarrasser et vivre assez vite – le monde ? on emprisonne et

on tue en Iran

Le soir prendre livraison du panier de l’association pour le maintien d’une agriculture de proximité (potimarron demi-choux carottes pommes de terre un panet deux échalotes) et la lune à son presque zénith

 

billet cinéma (assez spécial quand même) en maison[s]témoin

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3 Comments

    pardon (devrais renoncer)
    je n’ose dire « c’est bien tout ça » parce qu’à part le tout Nathalie Sarraute a tué la phrase mais je le pense

  • @brigitte celerier : c’est vrai, je pourrais me fâcher (si vous arrêtiez…) : continuez! (merci à vous)

  • Coucher le brouillard sur le papier… et retour des consignes (pour les bouteilles)… 😉