2161 Samedi 26 Novembre 2022
transformer en or
OSEFOC – on continue – en passant, la Jaguar noire, la vert d’eau (possiblement Bentley) l’Alpine blanche – fait même pas froid – ce n’est pas que ce soit bousculé mais ça s’éloigne un peu – des petites poivrades plus ou moins soldées et voilà le travail
(blues indigo qui tourne) – un peu de détresse, des images à faire dans les magasines, celle-ci qui tout à coup changer son patronyme pour l’angliciser – elle est de 61 dit la chronique mais je l’aime bien
probablement la posture les éclairages bord cadre qui renseigne sur la loge – quelque chose de la jeune femme blonde du film d’hier
en dvd (merci) Ce sentiment de l’été (Michaël Hers, 2015) (duquel on a vu le Les Passagers de la nuit) plutôt joli deuil et résistance (le rôle de la sœur du héros : splendide) et aussi le Amanda (2017) qu’il me semble avoir vu
j’arrive enfin au jour et quel bel accueil (feuilles, poivrade | hum plus le droit mais rien que l’odeur | et l’intelligence radieuse de la photo) !
J’ai toujours trouvé que « Ce sentiment de l’été » relevait du titre magnifique… mais je n’ai pu ni voir le film ni chercher le DVD.
Mylène Farmer, « en rouge et noir », cela veut tout dire. 🙂
@Dominique Hasselmann : oui c’est un beau titre – le film a quelque chose de vraiment très délicat ténu sensible (si tu veux je te le prête si l’amie qui me l’a prêté m’y autorise – je lui demande…)