2129 Mardi 25 Octobre 2022
une année lumière fait (en gros) dix mille milliards de kilomètres – c’est pas tout de suite parcouru (trois cent mille kilomètres par seconde, la lumière ne traîne pourtant pas) (ce sont sans doute nos mesures et nos unités qui ne conviennent pas vraiment – trop humanos-centrées) : on ne se représente pas,mais tant pis, il en faudrait quand même six mille cinq cent fois plus pour arriver jusque là
(l’emphase de la dénomination de ces machins n’a d’égal que l’orgueil de les exposer – ce qu’on fait ici, certes) mettons autre chose, plus proche de nous (mais plus éloigné aussi – MISSISSIPPI en inscription pour la 8)
Anna Magnani et Tennessee Williams (sur une image getty) le premier rôle masculin tenu par Marlon Brando (il incarne l’homme à la peau de serpent (Sydney Lumet, 1960) – non, pour rien, juste comme ça, je les ai croisés hier – je bosse la note d’intention tandis qu’un appel d’offre pour un récapitulatif de dix ans d’enquête paraît – dieu merci (comme disait ma grand-mère) (paternelle) j’ai reçu ça par la grâce de la poste
l’océan déchaîné (j’adore – merci !) et puis cuisine à tout va, première étape
préparation falafelienne – deuxième étape
on verra si c’est réussi – vingt-cinq unités – faudrait bosser plus fort mais je vieillis et ne récupère guère – bof –
ciné le soir Reprise en main (Gilles Perret, 2022) plutôt très bien (on n’a pas envie de critiquer une telle entreprise du point de vue de l’esthétique du cinéma – le scénario est assez pesant – en tout cas les acteurs sont parfaits) (Laetitia Dosch et Pierre Deladonchamps en particulier)
en revenant cette image prouvant le civisme de la municipalité (fin de l’abondance, économie d’énergie etc etc)
on voit bien que l’hôtel reste dans l’ombre – pour le reste… – puis cette coquetterie de l’appareil
Paris by night
Les arceaux de lumière, toujours une belle surprise objective. 🙂
ces photos de nuit où les lumières ont des fantaisies que je n’ose le plus souvent publier mais que je garde parce que les aime
vais lire votre 8… sans me laisser impressionner mais en admirant certainement (même si une fois encore vais être incapable de commenter) et pour me servir d’aiguillon (parce que l’idée m’est venue, sans doute pas exactement dans les clous de ce qui était désiré par François Bon et pas d’accord avec certains hier pendant le zoom… seulement avant que ça s’efface voudrais avoir le temps de l’écrire et entre ma lenteur dans les tâches quotidiennes, les vêtures de presque hiver à sortir et le bruit du chantier ai peur de ne pas)