Sur le bureau #58

(ici cette illustration qui donne une certaine idée, de nos jours (les images datent de 2010 à 2020, des images il me semble dans l’ordre chronologique) de cette petite rue, une voie privée dans la banlieue nord de Rome où vivaient Mario Moretti et Barbara Balzerani, tous deux membres des brigades rouges durant la préparation de l’enlèvement et les premières semaines de ce carnage) (je n’ai pas le sentiment que ça ait beaucoup changé (mais je me trompe sans doute))

ici un plan de la rue, avec la situation du 96 (un centimètre vaut  quelques mètres je suppose – une voie privée comme il en est beaucoup dans le quartier)

Ici la situation de cette petite rue, via Gradoli (un centimètre vaut quelque chose comme 3 kilomètres)

Le point rouge indique ici l’emplacement de l’appartement d’Aldo Moro

Et ici l’endroit où il a été tenu au secret, la « prison du peuple »

Les images ne montrent que l’entrée (qui est aussi la sortie) de la ruelle (droite cadre les caméras de vidéosurveillance/protection/dissuasion)

barrière fermée – des gens patientent, assis sur le petit muret de gauche : ils attendent l’autobus

ça n’a rien de spécial c’est juste joli avec ces arbres, pins parasol (un peu comme à Sète)

voie privée, accès restreint

l’arrêt de bus (panneau jaune)

ah on refait le muret

le tout repeint en vert clair (bof)

sans doute assez normal

les pins, les cyprès, les arbres, les enfants – pour illustrer le dialogue numéro cinq à paraître (je relis je publie et je pose le lien) (c’est là)