2206 Jeudi 23 Juin 2022
ces deux compères (ou commères, qui peut savoir ?) sur le chemin du vraqueux
incessants changements de températures – fatigue insomnie déprime – soleil cependant – dans la rue cette esthétique contemporano-asiate
assez moche hein – il s’agit d’une moto – en tout cas agressive et déplaisante – j’avais dix-huit ans, la BSA 250 moto-école démarrait au kick, poignée dans le coin sur le boulevard Carnot ou Maignan-Larivière – et puis et puis…
ici L’apothéose de Carpeaux tableau magnifique dudit
contraintes administratives – lectures (fini le Margot de la Josy) et écritures (liste en 12) – en résumé
(merci à A.) (en spéciale dédicace à Arnaud Maïsetti)
au ciné Swing (Tony Gatlif, 2001) précédé d’un petit concert (oublié les prénoms des deux guitaristes, Michel et Cément peut-être, le nom du groupe Swing quelque chose) (ils ne sont pas non plus sur l’image tu me diras)
il s’agit de s’amuser et de jouer des prouesses des uns et des autres (bravo et merci) au ciné 104 de Pantin -ils jouèrent Les yeux noirs, Minor Swing et deux autres morceaux Nuages presque fatalement- je me souviens que j’avais des velléités pour apprendre ce qu’ils nomment la pompe (ça reviendra peut-être en tout cas je vais apprendre à parler (mieux) italien avec mon compte formation professionnel (à moins que je ne parvienne à opter pour l’arabe) l’Inalco a fini par répondre alors que ma signature électronique a été apposée sur ma demande de financement – usine à gaz hein) le film magnifique, Tchavalo Schmidt ni personne ne joue, tout le monde est formidable – tout le monde joue – la scène du concert dans la caravane est splendide (la caméra libre comme le scénario – une merveille d’amour pour l’enfance comme il se doit) parfait (mention spéciale à Fabienne Mai, qui joue la grand-mère du héros : formidable)
étrange photo d’ouverture (fantaisie immobilière… moi c’est ma serrure qui est morte, chut, depuis hier matin… cherche à joindre propriétaire parce que : bon je. connais le prix)
fait envie le film oui, (sais pas ce qu’est la pompe, mais le plaisir de la musique je devine) et bravo pour la réponse Inalco
@brigitte célérier : la pompe, c’est la rythmique qui joue derrière le type qui se démène pour faire valoir son solo – pour l’arabe c’est pas gagné… (merci à vous)
Chouette photo d’ouverture : si j’étais passée par-là avant vous j’en aurais fait un opus de ma série Poétique de la voirie (mais je boude mon blog depuis que celui-ci refuse les photos alors que je n’ai pas le temps du tout de chercher à le réparer)
@L’employée aux écritures : votre message était parti en « indésirable » : ces machines ne nous épuiseront pas, mais elles le tentent hein… On attend la réparation du blog – et notamment, votre poétique et votre « Habiter Paris », Employée. Merci à vous.