2145 Dimanche 24 Avril 2022

c’est la mort dans l’âme – mais tant pis – pervertir le vote en prêtant sa voix au jésuite éborgneur, lequel a tout fait pour nous manipuler – mais tant pis (sale goût de pourriture en bouche)

hier c’était curry de poisson lait de coco betteraves en salade tartopommes – nouvel opus de l’ami photographe – marche en ville ici l’arbre qui cache la forêt assis sur l’ex-souche Corentin (rincés, mais une pensée vers Jako) –

le monde dans le musée des sciences en travaux (ce n’est pas un musée, ce ne sont pas des travaux mais des embellissements et y’a du boulot) – des ongles factices artificiels contrefaits imitant des griffes d’outre-atlantique des basketts et un grimpant (slim extensible) du même tonneau afin de cerner l’hexis contemporain (le sac qui proclame l’habitus alimentaire) (estampillé alimentation en prison)

au ciné Toute une nuit sans comprendre (Payal Kapadia, 2021) (réalisatrice indienne, qui a fait ses études au Film and Television Institut of India – ça se trouve à 120 kilomètres au sud de Bombay ou Mumbai, c’est comme on aime) premier film long métrage de montage formidablement rythmé (ledébut est un peu long, persévérer) – narration fictionnelle en voix off – espèce hybride à base de nombreuses chutes obtenues de nombreuses sources – une esthétique soignée et délibérément éthique (l’ordure semblable à la fille du borgne, Mobi, au pouvoir : on voit ce que ça donne : une horreur) – extra j’ai adoré (coproduit par le CIiclic et le Cnc)

pour la peine une image d’elle et son pedigree du dossier de presse (le fond noir c’est pour faire genre je présume)