2094 Samedi 5 Mars 2028

(il y a quatre fois dix-sept ans d’ici mourait l’ordure dite lPPdP – j’étais (déjà, mais pas encore complètement fini) dans le ventre de ma mère) – je ne m’en souviens plus, non) marché marcher marché (espadon 8 euros le lot – quand même – presque une livre) (poivron oignons salade chicorée rouge – 14 euros le kilo quand même) lire et écrire (sans autre forme de procès que le blog) investissement peut-être inutile – images d’Angleterre

centrale à charbon sous ciel – sinon rien (travaux trombe studio – catastrophe as usual (CAU en langage codé) – déficit creusé j’ai tenté de joindre un avocat : elle ne répond pas (c’est une femme) – un autre (un ami) : non plus – il faut pourtant que je me défende mais les doigts plein de pouces non, rien – les papiers retraite obsoletes – prendre rendez-vous avec une assistante sociale – jt’en parle même pas) – ça se passe du côté de Widnes (on attend le bus)

il va venir

ah ce n’est pas le bon

ici je me demande comment faire (mes chaussures ne sont pas étanches – ça va hurler à la maison)

non rien, il ne se passe jamais rien… sinon l’abjection humaine… ici des gâteaux à Marioupol

que de morts…

en face dans le poste Le plein de super (Alain Cavalier) inutilement obscène (mais c’était les années 70)

au ciné Maternité éternelle (Kinuyo Tanaka, 1955) mélodrame (grâââve) féministe (courageusement)