2028 Mercredi 29 Décembre 2021
il n’était pas si tard (on reprend ce jour, on finit l’année, quelques aigreurs sans importance) (ça bosse, fin de TOA passé en pdf et envoyé à Nous) (« the artist » dans les tuyaux) on a été boire un verre avec E & L (pax à tous les étages) de ce côté-ci (A était là aussi)
on a ri – le temps était au doux – tisons/balcons tout ça – parfois ces images-là m’étreignent – passés par là en revenant du ciné
N2P en travaux, mais illuminée telle la star – tout autour des palissades, une emprise décorée d’images de l’incendie (il faut dire que les dons au denier ont été conséquents) (de là à les foutre en l’air dans ce genre de complaisance…) (le monde contemporain communique) (immonde) en sortant du ciné cette épure de Marcel
(plutôt dans 8 et 1/2 que dans la douce vie ? j’ai l’impression) – plus un peu plus loin cette affiche du film
en nuances (il faudra(it) aller au cinéma tous les jours – pas les moyens, dommage)
au ciné Madeleine Collins (Antoine Barraud, 2021) (non, non) (la Judith en question (Virginie Efira) dans tous les plans, ça fait trop)
First Cow (Kelly Reichardt, 2020) simple et clair (une brève histoire du lait) (une belle amitié) (on avait bien aimé d’elle « Certaines femmes » : magnifique) (ici aussi, magnifique)
leaving tomorrow, back in Babylone en vingt-vingt-deux
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pas si mal le cinéma (me fait honte, mais peux déjà plus tant la musique et le théâtre, alors…)
N2P : j’aimerais qu’elle se peaufine et résiste aux prévisions du « maître des horloges’ (qui a perdu un peu de sa prétention) même si elle restera ainsi un souvenir pour moi
je venais par ici en quête d’un vieil article où tu évoquais la photo de rue (avec citation d’une photo de mon père), bref je tombe là-dessus pensant que tu faisais une trêve, moi oui, coincée par le variant qui m’a empêchée de réfléchir pendant deux jours. Joyeux réveillon !