2012 Lundi 13 Décembre 2021
rendez-vous pour la trois (fuck off) (je vais y passer, mais j’espère que je n’y passerai pas) (rappel tous les 5 ans tous les dix ans, tous les ans, tous les mois – tenez-vous tranquilles) (état d’urgence permanent et dictature sanitaire sont dans une tempête sous un crâne technocrate intéressé aux bénéfices des laboratoires) – à ce niveau-là on n’en devrait pas parler : quand on ne nous bassine plus avec l’immonde abjection fille du borgne ou son abject concurrent immonde ou encore la fossoyeuse de l’université sous nano the first, celle qui sait s’entourer (pendant ce temps-là la région se gère (roue libre) tandis que la capitale fait de même – sans les mains) (ces gens-là gardent leurs postes et leurs émoluments tu comprends bien) il y a toujours les courses pour bientôt – douze plus sept et ce sera vingt-vingt-deux – conjonction terrible… – coupe du monde foot au soleil – non mais ça va, jt’assure : cette année comme la précédente et je pense les suivantes ce sera sans cadeau – scandaleux… – un tour en ville dans le trois (effigie déjà connue et croisée: #394)
c’est égal, il y avait plein de monde, tout était ouvert on achetait et on achetait – fringues bijoux parfums colifichets le tout vintage – vaguement envie de gerber – il ne pleuvait pas mais bas et lourd était le ciel – une exposition à 15 euros (on a reculé devant l’obstacle « non, dit le type à l’entrée, c’est un producteur privé ce n’est pas une galerie » – osef on passe on cherchait les dessins de Delphine Bretesché, on s’est trompé de sens – on a trouvé ce genre de choses d’un artiste brésilien (Marcus Marin – apparemment il a un homonyme footeux) vivant à Vintimille tout en étant artiste officiel de Monaco (une expérience avec l’ex-princesse tous les ans…) : ici une représentation d’Ava Gardner sous Marilyn Monroe
deux-cent cinquante euros pièce si ça te tente – on avait une image d’une des représentations de la princesse (ex-star de ciné, tu vois qui) qui avait été posée sur le coin du quai et de l’avenue, à côté de la flamme qui marque (à presque tout jamais) l’endroit de l’accident, à l’Alma, d’une autre princesse (plus ou moins répudiée…) – faute de goût, il m’a semblé (image industrielle – ça c’est Paris – on aime le trouble dans la flamme (étude en vert) :
) – vaguement nauséeux, on est revenus sur nos pas – rue de Poitou puis de Turenne puis Sainte-Anastase c’était fermé, tant pis on reviendra (c’est au 16) (et c’est jusqu’au 16…) – il ne pleuvait pas, dans une boulangerie de la rue Charlot, un pain aux raisins plus un chausson aux pommes (beurre en excès, mais c’est le quartier qui veut ça) vous est facturé quatre euros trente – on est rentré à pied
étonnant oui, revigorant un peu mais étonnant tous ces gens avec des sacs dans les rues (quoique ici c’est surtout encore lèche vitrine)
brigitte celerier : vaguement le sentiment de la convention… la nausée un peu non ?