2002 Vendredi 3 Décembre 2021

dormi deux heures, c’est un peu juste – période maniaque – ça ne fait rien, une bonne sieste peut-être – ceci dès le départ

une femme qui parle fort dans l’autobus (les gens se lâchent vraiment avec leur nino c’est formidable: on sait pratiquement tout…) : « il faut que monsieur Bénanino me rappelle… je ne sais pas Bénivo oui c’est ça, c’est pratiquement une question de vie ou de mort… » elle était derrière moi, puis je sors, elle me bouscule, descend (elle porte une espèce de jogging qui a eu été blanc elle s’accroupit devant une banque et se déculotte) (probablement assez atteinte…) ce genre de personnage me fait peur, je suis descendu dans le métro – brrr… – le président a rouvert, gros gros lifting, la devanture dans les ors

je me souviens de la candidature de l’ex-femme du traître avec ses dents (il grossit d’ailleurs)contre nano 1, pauvre Ségolène – son équipe de campagne avait trouvé le lieu adéquat (tellement nulle, elle aussi) – quand vient la fin de l’automne(c’est presque une chanson)

pas pris la photo contractuelle du visa – dommage: si j’y repasse sans faute – sauf que la semaine prochaine pas sûr que je m’y pointe – en descendant,ces merveilleuses couleurs

et puis dans l’Europe de l’est, notamment en Pologne, ce que c’est vraiment que l’extrême droite : « je ne m’en sortirai pas » est le dernier texto d’Izabela à sa mère, avant de mourir des suites de la non-intervention des médecins qui obéissent à une loi inique, absurde, sauvage et votée par un parlement dégueulasse

dans ville&cinéma de l’aiR Nu chronique d’une petite commune nommée Cormellain (« le plus cultivé du coin, à l’entrée, était un champ de patates » : c’est juste de l’humour…) ou alors Cormelun ? peut-être ou autre… (Partir un jour d’Amélie Bonnin)