Pendant le weekend

1985 Mercredi 17 Novembre 2021

 

 

 

(non, mais on ne sait pas exactement où on va, par ici par là, ailleurs demain j’en sais rien : j’y vais) (je ne vais pas avoir le temps mais si je ne m’y mets pas tout de suite, ce sera encore retardé – écrire) (je sors, j’achète deux livres, un de Gadda Quer pasticciaccio brutto de via Merulana (quelle sale affaire que celle de la rue Merulana) (points seuil 10e) (kdo) (dans ces cas-là (Rome, éternelle peut-être, favorite sans doute aussi) je vais voir un peu ce qui se trame

d’accord) et un autre de la Fabrique Histoire populaire de la psychanalyse (Florent Gabarron-Garcia) (14 e) (creuser le découvert) la journée passée à(sauf marché ménage repas) produire les pièces pour le pass paris access seniors (saloperie de vulgate administrativo-municipale de chiotte) centre d’aide sociale de la ville : gratuité des transports pour les nécessiteux – soit ceux qui payent moins de 2023e d’impôts sur le revenu, plus de 65 piges – parcours du combattant)  mais aussi ceci

en maison[s]témoin – les questions sur ce réalisateur (« tellement doux » dit l’un ou l’une ou l’autre; brutto certainement – j’avais l’image par GSW quelque part – retrouvée centre ville Rolle

comme on dit au cinéma : bonne projection (tu crois que c’est lui avec la Miéville en ville ou quoi ?)

(des choses dont on se souvient : ne pas avoir ouvert à la Varda) (il m’avait semblé produire une chronique sur ce film, Visages villages – mais j’ai dû rêver – non c’est là)

 

 

aujourd’hui, c’est un vieil homme – il est de 30 – c’est vrai, mais j’ai l’impression tellement en dehors…) peu importe – on s’en fout un peu « toujours facétieux » dit le commentaire – c’est cela, oui) (le lien dans l’article : encore merci ici aussi, Employée) ces images-là (Sakhaline, au fond : Sakhaline)

décadrée

 

au ciné Compartiment numéro 6 (Joshua Kuosmanen, 2021) (grand prix Cannes 2021) deux mille kilomètres en train en allant plein nord, départ Moscou –  simple drôle magnifique – ici les deux premiers rôles Seidi Haarla et Yuriy Borisov

 

 

 

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4 Comments

    un film (court) que je garde en lien pour le regarder) un film pour y rêver.. merci

  • sacré Godard… Dommage qu’il ne vienne pas faire un tour en France pour filmer les « préparatifs » de la campagne présidentielle, un petit documentaire comme un jet d’acide ferait du bien dans le paysage !

    Compartiment N°6 : je l’avais noté dans ma mémoire. 😉

  • @Dominique Hasselmann : pas si sacré que ça – toujours à planer en tout cas avec son ego de baudruche – mais oui,le film finlando-russo-germano-estono est bien

  • @brgitte celerier : welcome…!