1980 Jeudi 11 Novembre 2021
réveillé par le mal au crâne – les ennuis financiers cette horreur – les nouvelles d’Italie, les mails sans réponse des Grecs, le film de Liliane A. – les images des disparus, qui pourraient enrichir (enrichir ?) le billet de son départ (ce sont des voisins, des vies parallèles) – au bar vert réunion R’Nu dispositions lait chaud projets – le froid, je disais à l’épicière « je déteste l’hiver » ah ? pas moi, non, j’aime bien au contraire dit-elle mais chacun ses goûts – sans doute, une demie patate douce, un poivron, deux courgettes, trois oignons une bouteille de vin blanc : 10 euros – pour ce soir – par la poste une merveille (merci Employée) (Claude Ventura, 1991) réalisée pour la société européenne de programmes télévisuels (ancêtre si tu préfères de l’association relative à la télévision européenne – ces acronymes de merdalakon hein, quand même aussi) (la télé c’est exactement ça)
on en fera quelque chose – à l’écriture, le projet Bdur (ces acronymes de merdalakon, hein) – je ne sais si j’y arriverais (pour le moment j’illustre un peu avec ceci (la machine à écrire de Jack Torrance) (Shining, Stanley1980)
recherché celle de James Bartlow (dans The bad and the beautiful, Vincente Minelli 1952) sans la trouver – imaginer où « le Chat » (alias Georges Robert, aka Cary Grant) s’est procuré le foulard rouge qu’il porte ici
des choses avec des objets comme en raconte ici Bruno Lecat (entre autres : ici)
– trouvé ça (deux voitures, un cheval, une antenne)
en cherchant l’histoire sans parole et trouvant ces deux-là, droite cadre, assis (peut-être assises) non loin des deux autres qu’on voit au fond
je te les rapproche (ça se passe en Pologne)
(le ciné ce sera sans doute aujourd’hui) (pour voir quoi, c’est une question importante à laquelle on trouvera une réponse) (le « 3 étages » de Nanni Moretti sûrement) (l’écriture insuffisante, tant pis mais passe le temps) (mes filles et leurs tatouages) déjeuner avec MC et l’ami photographe (tartare/frites 14,50, invité : merci à toi…)
(je n’ai pas fait signe à monsieuye Jibhay, j’en avais un peu gros sur la patate – c’est-à-dire que trente deux ans de fréquentation de l’endroit qui se terminent sans autre forme de procès qu’un avis administratif est un événement qui m’a profondément blessé) (de ce fait, l’espace qui y correspond me repousse sinon me répugne) (je sais pourtant ce que ce sort de prestataire contient d’éphémère) (sans doute le même style de blessure symbolique porté par le lien du début, cette manière de se sentir foutu à la poubelle) (dans le même sens, les images prises au film « destiné à un usage uniquement familial » ne seront pas posées ici) c’est égal, c’est ainsi que nous autres hommes (et femmes, certes) vivons… Une autre image d’objet, ce t-shirt que porte Patricia
et ces mensurations
des objets, des choses, des idées – ça va venir t’inquiète
le goût parfois amer et on continue
Moi non plus le froid, plus de tout, ça m’a saisie en rentrant de Mars, et puis j’ai souri avec les tatouages des filles, ici aussi, deux veines bien différentes, mais ça trace…
Des mensurations qui font rêver, et ce matin le ciel bleu bleu bleu
Dommage que « The New York Herald Tribune » n’existe plus, il m’était arrivé de l’acheter car il était affiché dans certains kiosques parisiens… 🙂
Qu’il est émouvant ce film, avec ses coups de fil passés dans les cabines téléphoniques qui ont disparu du paysage et les archives du tournage, jusqu’au ticket de caisse de Prisunic pour l’achat de la robe de Patricia que JLG se fait rembourser par la production.
@brigitte celerier : quelle affaire ! un peu qu’on continue… ! (je veux) (et merci)
@Caroline Diaz : tu viens deMars,toi – très bien – mais je savais qu’on avait quelques goûts en commun tsais… (merci de passer)
@Dominique Hasselmann : aux Champs Elysées talam talam tam… :°)
@L’employée aux écritures : Merci à vous Employée,encore, pour le lien… d’ailleurs le voilà